... À la lecture des articles du deuxième traité de Versailles, il semble que le don-quichottisme n’ait pas attendu cette époque pour faire son apparition dans la politique étrangère de la France. ...
Guerre de Sept Ans, 1756-1763 (La)
... avec effarement un spectacle qui, quelques mois plus tôt, paraissait inimaginable : une armée française humiliée par le petit marquis de Brandebourg, une guerre d’Allemagne appelée à durer, une guerre d’Allemagne qui, en vertu des clauses du deuxième traité ...
... À Versailles, les reproches de Maillebois sont amplifiés par son allié, le grand munitionnaire Pâris-Duverney, qui plaide auprès de Paulmy pour le remplacement du général en chef. La décision est prise au début du mois de juillet. ...
... Telle est, à Paris, la question du jour. Comme le souligne Barbier, il paraît bien « singu- LA-GUERRE-DE-SEPT-ANS_INT_15-02-16.indd 238 15-03-02 10:40 AM ...
... Louis et Bernis peuvent se féliciter d’avoir conclu le deuxième traité de Versailles : la perspective d’une guerre courte en Allemagne se vérifie jour après jour. Assurément, la victoire finale est à portée de main. ...
... George II, en effet, est en partie responsable de la capitulation. À l’insu de ses ministres, il a donné carte blanche à Cumberland pour traiter avec Richelieu. ...
... LA MACHINE SE DÉTRAQUE 245 politiques, défend le prince avec noblesse en tenant tête au roi : « Le Roi lui déclarant qu’il n’a pas envoyé d’ordres à son fils pour conclure ce traité [de Kloster Zeven], Pitt répliqua avec fermeté, “Mais des pleins pouvoirs ...
... Pour honorer les clauses du deuxième traité de Versailles, la France a envoyé un corps auxiliaire au centre de l’Allemagne. Le commandement de ce détachement a été confié au prince de Soubise. ...
... L’impératrice-reine n’est-elle pas en train de remporter son pari ? Jamais le retour de la Silésie dans le giron des Habsbourg n’a paru aussi imminent. ...
... Dès qu’ils sont connus, les détails de la bataille font jaser. « Cette nouvelle a jeté la consternation dans Paris pour la gloire de la nation ; on la craignait fort par la prévention désavantageuse qu’on avait du prince de Soubise, que l’on dit s’être ...