Habitants, marchands et seigneurs

Habitants, marchands et seigneurs

Page 38

... En ne tenant pas compte du grand domaine seigneurial, la partie des terres en culture ou en prés était de 16,1 arpents pour chacune des quatre-vingt-deux familles de 1724, tandis qu’elle n’était que de 9,2 arpents quarante ans auparavant. ...

Page 41

... En outre, non seulement le sol appartenait-il aux paysans, mais une grande majorité de familles paysannes possédait des terres. ...

Page 42

... Des familles possédaient des superficies beaucoup plus grandes que la moyenne locale, mais, nous le verrons, de façon normale, les vastes propriétés n’étaient pas tant une représentation de l’agriculture à grande échelle que la concentration temporaire ...

Page 43

... l a famille paysanne et son ménage 43 Qui vivait dans la maison d’un habitant du xviiie siècle ? ...

Page 44

... Puisque cette composition était moins courante que celle du couple seul, on pourrait penser que la famille souche était peu banale ou anormale, mais l’étude d’autres paysanneries suggère que, même quand le modèle de la famille souche prédomine, un listage ...

Page 45

... l a famille paysanne et son ménage 45 ver ici que, même à court terme et au sein d’une seule famille, le « cycle de développement » évolutif modifiait la forme d’une maisonnée et constituait un important facteur de conditionnement de l’économie paysanne ...

Page 46

... Les données que nous possédons ne corroborent pas cette hypothèse : Nombre Familles avec des domestiques Familles sans domestique Taille moyenne Écart type 37 236 4,89 4,81 2,52 2,42 Les motifs qui ont amené certains paysans à engager des gens n ...

Page 47

... Sa famille était peut-être plus pauvre ...

Page 48

... La forme allongée de sa terre avait un certain nombre d’avantages pour la famille Allaire. ...

Page 49

... l a famille paysanne et son ménage 49 d’une rangée complète de parcelles se réduisait à faire le tracé d’une ligne de démarcation, ou fronteau, et à poser des repères en bordure. ...