... Ils ont fondé Tadoussac, puis au début du xviie siècle Québec et Trois-Rivières, pour faire la traite des fourrures de castor et d’autres animaux sauvages, qui se vendaient à prix d’or en Europe. ...
Habitants, marchands et seigneurs
... La majorité des peaux de castor et d’autres animaux étaient récoltées par des Amérindiens qui vivaient loin à l’ouest des établissements français du Saint-Laurent, et le commerce était donc rarement touché par leur croissance. ...
... Ces îles, dont la moitié appartenait à la seigneurie de Sorel, constituaient un abondant réservoir de poisson et de gibier d’eau. ...
... À Sorel surtout, avec sa myriade d’îles et de marais, on mangeait aussi du poisson et du gibier d’eau ; de là les filets de pêche et les hameçons, les fusils, les pièges spécifiés dans les inventaires des habitants du bord de l’eau. « Ce doit être un ...
... Ce point de vue tend à assimiler les rapports féodaux avec la relation propriétaire-locataire caractéristique des sociétés capitalistes où les parties arrivent « librement » à un arrangement dont la durée et les conditions sont définies à l’avance avec ...
... Un document datant de 1809 fait allusion à un impôt de deux poissons pour chaque coup de filet plein d’aloses10. Peut-être les seigneurs ne se sont-ils pas rendu compte que ce « droit de pêche » n’avait pas le moindre fondement légal ! ...
... L’année suivante, il est arrivé à Québec moins d’un mois après « la » bataille à cet endroit, a acheté un chargement de poisson séché et se ...
... En 1772, un fonctionnaire anglais écrivait ceci, au sujet des Canadiens français : « Plusieurs gens du bas peuple sont devenus des buveurs de spiritueux, depuis les déluges d’un poison incendiaire, venu de la Nouvelle-Angleterre et appelé rhum, qu’on ...
... marchands yankees de la vallée du Connecticut acceptaient de bon cœur un vaste choix de produits agricoles de leurs fournisseurs ruraux : du maïs, de l’avoine, du seigle, du beurre, du fromage, de la graine de lin, des légumes, des pommes, de la cire, du poisson ...
... Il inscrivait ce qu’il devait à certains paysans pour du travail et des fournitures de paille, d’avoine et de beurre ; le paiement de ces dettes se faisait le plus souvent sous forme de pain, de sel, de porc, de poisson et de patates plutôt qu’en argent29 ...