... Avec sœur Saint-Olivier, elle publie un traité de pharmacologie4 à l’intention des infirmières. Les deux religieuses donnent également quelques cours aux pharmaciens inscrits au nouveau programme de pharmacie d’hôpital. ...
Histoire de la Faculté de pharmacie de l'Université Laval
... À peine revenu de Bordeaux et de Paris, le professeur Dumas est associé à un ambitieux projet du professeur LeBlanc. ...
... Dumas obtient un baccalauréat en pharmacie de l’Université Laval en 1966, puis un doctorat en pharmacie en 1969 à la Faculté de pharmacie de l’Université de Bordeaux et un certificat d’études supérieures en microbiologie à la Faculté de pharmacie de Paris ...
... En plus d’interagir avec les infirmières, ils participaient à la tournée avec l’équipe médicale, ils pouvaient discuter du traitement et répondre aux questions. ...
... Il contribue également à la création du Centre intégré de formation en sciences de la santé (CIFSS), de la Chaire de recherche sur l’adhésion au traitement qui sera reconnue internationalement et du Cercle de la Faculté de pharmacie visant à développer ...
... Elle analyse leurs dossiers pharmaceutiques, fait le suivi de leur traitement et la promotion du bon usage des médicaments. Archives de la Faculté de pharmacie. ...
... À la fin de son stage, Bernard Courtois est envoyé à Paris pour étudier la chimie dans le laboratoire de Fourcroy. En 1799, il doit servir dans l’armée de Napoléon dans des hôpitaux militaires. Il a pour tâche d’effectuer une recherche sur l’opium. ...
... En 1957, elle rédige un traité Sœur Fernande Martin (1914-2001) Dominicaine de l’Enfant-Jésus, sœur Fernande Martin est l’une des deux premières femmes inscrites en 1941 à l’École de pharmacie de l’Université Laval. ...
... À partir de 2009 et jusqu’en 2015, elle met en place et dirige la Chaire de recherche sur l’adhésion aux traitements obtenue grâce à un partenariat privé25 ; il s’agit d’une première à la Faculté de pharmacie de l’Université Laval. ...
... Les années 1960 La devise de l’Université Laval Le directeur Marquis, en dépit des difficultés rencontrées pour développer l’École de pharmacie, exprimait souvent son amertume au sujet de l’École qui « selon lui » n’était pas traitée sur le même pied ...