Histoire de la médecine au Québec 1800-2000

Histoire de la médecine au Québec 1800-2000

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... notamment la morphine et l’opium, qui sont difficiles d’accès pour la population. 21 Quant aux purgations, elles sont aussi prescrites aux patients et, parmi les laxatifs traditionnels, l’huile de ricin est très largement employée ainsi que l’huile de castor ...

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... L’usage de l’huile de castor ou de la graisse d’ours en friction est recommandé pour soulager les douleurs musculaires ou rhumatismales. ...

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... Au siècle de Papineau, on fait usage de l’écorce de saule, de la gomme de sapin, de la résine, du gras animal, de l’huile de foie de morue et de castor, de la bouse de vache, des plantes médicinales… Des pratiques populaires anticipent par ailleurs les ...

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... Ils proposent à la population une panoplie de remèdes, peu coûteux, aux vertus dites «  miraculeuses  Un des plus importants ». 31 Les sirops calmants sont des poisons. Mères, n’en employez jamais. ...

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... organisent des activités musicales, offrent aux malades des livres pieux « propres à leur donner du courage  et décorent les salles de fleurs naturelles. » On organise aussi, pendant la période des fêtes, le «  grand dîner au malade »  dinde, bœuf et poisson ...

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... Les miasmes étaient considérés comme un poison aérien provenant des matières animales et végétales en décom­ position. Coll. Denis Goulet. ...

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... Certains de ses écrits se retrouvent dans le pamphlet Les vaccins, racket et poisons ? qui cumule des extraits de présentations et de témoignages issus du congrès organisé par la Ligue universelle des antivaccinateurs en juillet 1885. ...

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... Ainsi peut-on lire dans le journal L’Antivaccinateur canadien-français que les autorités, en voulant imposer la vaccination obligatoire, propagent le poison vaccinal « anglais » et mènent une guerre contre les 117 Canadiens français. ...

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... les représentations des maladies vénériennes sous la forme d’un poison introduit dans l’organisme, est ainsi associée à une faute morale. La tempérance et les « bonnes mœurs » demeurent donc les meilleurs moyens de prévention. ...

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... chapitre 4 • Des miasmes aux germes de plus en plus assimilés, à mesure que l’on avance dans le siècle, à un rôle de vecteur des maladies contagieuses et de moins en moins à celui de cause première générale. ...