... Le tableau illustre la première église Saint-Eugène, sur le chemin du Lac-Écho, l’atelier du forgeron Pagé, la pension de la famille Bellevue, le magasin général de Joe Seale, au coin du chemin du Village et de la rue Watchorn, et l’école intermédiaire ...
Histoire de Morin-Heights et des villages voisins (L')
... de la partie sud du Township de Morin 1857 Ouverture du premier bureau de poste de MorinHeights, à Britonville 1860 1860 Ouverture de la première école de Morin 1861 Construction de l’église Trinity Anglican 1861 Dénombrement de plus de 90 familles ...
... référendum ; 5 votes assurent la victoire 1938 Le Hammond’s Dancehall devient l’hôtel Commons 1938 Ouverture du Marché Vaillancourt sur la rue Principale 1940 1945 Fin de la Seconde Guerre mondiale ; reconstruction de l’hôtel Bellevue par la famille ...
... canadiennes au lac Saint-Denis 1952 Arrivée de la télévision à Morin-Heights 1953 Ouverture de la nouvelle école Sainte-Élisabeth ; achat de l’ancien bâtiment par la Légion ; ouverture du Théâtre Bell 1955 Reprise de la station de ski Mont-Bellevue par la famille ...
... Pourtant, de nos jours, à Morin-Heights, les familles voisines Vaillancourt, Laberge et Déry parlent principalement l’anglais à la maison, alors que la famille Weir vit surtout au sein de la communauté francophone. ...
... 22 L’HISTOIRE DE MORIN-HEIGHTS ET DES VILLAGES VOISINS Population de Morin-Heights depuis 1861 1861 1871 1881 1891 1901 1911 1921 1931 1941 1951 454 557* 558 471 484 498 593 594 671 872 1961 1971 1981 1986 1991 1996 2001 2006 2011 2016 1 262 1 316 ...
... Bien que les racines de plusieurs résidents remontent à ces premières familles, d’autres ont fait le choix conscient de venir vivre à Morin-Heights. ...
... Mgr Louis Forget, catholique francophone ayant grandi à Christieville, explique comment son père lui a enseigné la tolérance, lors des funérailles d’un membre de la famille Ivall au sein de l’Église Unie de Morin-Heights : « Quand nos catholiques décèdent ...
... Quelques tribus cultivent certaines espèces, comme le maïs et le tabac, mais toutes les familles autochtones savent comment reconnaître et cueillir les meilleures noix, les baies et les fruits sauvages qui abondent pendant la courte saison de végétation ...
... À l’automne, de plus petits groupes, comme des familles comptant une quinzaine de membres, remontaient la rivière des Outaouais ou des affluents navigables moins importants, notamment les rivières Rouge, du Lièvre et Petite-Nation, et passaient un hiver ...