... Les soldats entrèrent à Saint-Denis le dimanche trois décembre. Aussitôt les officiers se hâtèrent de parcourir les maisons en marquant à la craie sur les portes, le nombre de militaires qu’elles devraient abriter. ...
Histoire des Patriotes
... Aussitôt entrés à Saint-Denis, les soldats se comportèrent comme s’ils eussent été dans une ville prise d’assaut . ...
... Saint-Césaire où, au dire de Papineau, Nelson avait établi un camp considérable après avoir évacué Saint-Denis. La troupe s’organisa avec précipitation. On distribua des armes et des munitions à chacun. ...
... Le reste de la province avait appris avec surprise et même avec stupeur l’affaire de Saint-Denis. On avait bien parlé de se rebeller, mais personne ne pensait sérieusement que cela viendrait jamais. À Québec tout était calme. ...
... Lorsqu’on lui rapporta les combats de Saint-Denis et de Saint-Charles, il commença à prendre la chose au sérieux. Il se décida à émettre une proclamation pour inciter la population à demeurer calme. ...
... Le 24, arriva la nouvelle de la victoire de Saint-Denis. ...
... Les soldats du 32e régiment étaient décidés à venger la mort de George (et non Jack) Weir (cf. p. 404), assassiné à Saint-Denis le 23 novembre 1837. 457 ...
... Cette attitude rappelle celle du curé Demers qui, le 25 novembre 1837, avait refusé l’entrée dans l’église des dépouilles des Patriotes morts lors de la bataille de Saint-Denis, si les défunts ne s’étaient pas confessés avant de décéder. ...
... Ils avaient eu une frousse terrible au lendemain de Saint-Denis et tenaient à s’en venger. ...
... Il insista que les autres « rebelles » avaient trempé leurs mains dans le sang à Saint-Denis, à Saint-Charles, à SaintEustache, et que cependant, ils avaient été amnistiés. ...