... L’Institution nationale des beaux-arts qu’il dirige offre des cours aux artistes et aux ouvriers de 1871 à 1877, puis de 1885 à 188737. ...
Histoire des politiques culturelles au Québec, 1855 à 1976
... C’est par ses savants, ses lettrés, ses artistes qu’un peuple brille à l’étranger, grandit à l’intérieur et laisse un nom durable dans l’histoire48. ...
... 2 Les compressions des conservateurs dans la culture et les actions ponctuelles des libéraux, 1892-1919 L es gouvernements conservateurs qui succèdent au gouvernement national de Mercier n’ont pas accordé d’importance à la promotion des arts, des lettres ...
... CHAPITRE 2 • Les compressions des conservateurs dans la culture et les actions ponctuelles des libéraux… 47 succède est un conservateur encore plus près des ultramontains, puisqu’il avait participé à l’élaboration du programme catholique de 1871. ...
... Politicien et homme de lettres, sa loi de 1898 qui ressuscitait le ministère de l’Instruction publique, aboli en 1875, a été bloquée au Conseil législatif qui bénéficiait de l’appui du clergé catholique opposé à cette loi. ...
... Lucie Robert, « Du théâtre en famille. Les Marchand et le théâtre de société », Les Cahiers des Dix, no 73, 2019, p. 161-194. 7. ...
... La sensibilité de Robidoux pour la promotion des arts et des lettres n’est pas nouvelle puisqu’il avait été secrétaire de la province dans le cabinet Mercier en 1890. ...
... Parent né en 1855, n’avaient pas la même sensibilité pour la culture lettrée ou qu’ils la concevaient comme une activité relevant de la sphère privée. 9. ...
... Le sévère constat de Buies sur la marginalisation de la culture lettrée au Québec en ce tournant du xxe siècle ne tient toutefois pas compte de l’importante mutation culturelle qui s’amorce au niveau de l’ensemble de la société canadienne-française à ...
... Le débat autour de la création d’une bibliothèque publique à Montréal Les premières décennies du xxe siècle marquent néanmoins un retour d’intérêt des pouvoirs publics pour le soutien aux arts et aux lettres sans qu’on puisse parler pour autant d’une ...