... Néanmoins, l’explication fournie par Jacques de Chevanes précise clairement la distinction entre frères lais et « choristes » : [L]les autres, que l’on appelle Freres lays, & mesme, qui en quelque Religion portent le nom de Convers, apres avoir faict ...

Histoire du Canada et voyages que les Freres Mineurs Recollects y ont faicts pour la conversion des Infidelles
... Jacques de Vitry, évêque de Saint-Jean-d’Acre, participe à la cinquième croisade entre 1216 et 1225, et écrit une Histoire de Jérusalem (inachevée) ainsi qu’un volume de Sermones vulgares. ...
... L’anecdote attribuée ici à Jacques de Vitry est également relayée dans les annales franciscaines (voir Marcos de Lisboa, Chronique et institution de l’Ordre du Pere S. François, t. I, liv. I, fo 57 ro). ...
... Thane), ville située dans l’agglomération de l’actuelle ville de Mumbai en Inde, se nommaient Thomas de Tolentin, Jacques de Padoue, Démétrius de Tiflis et Pierre de Sienne. Leurs noms sont ici transcrits de manière approximative. ...
... L’un deux nommé frere Jacques fut exposé par deux fois au feu sans brusler 4, Dieu le conservant miraculeusement aussi bien que les trois enfans dans la fournaise de Babylone5. ...
... Jacques-Paul Migne, Paris, Ateliers catholiques du PetitMontrouge, t. I, 1846, entrée « Amalec », p. 325). 3. ...
... Frere Jacques de la Marque. » Franciscain de l’observance, Jacques de la Marche ou Giacomo della Marca (ca 1393-1476), né Domenico Gangali, sera béatifié le 12 août 1624 par le pape Urbain VIII et canonisé par Benoît XIII le 10 décembre 1726. ...
... Le couvent de Monteprandone, ville d’Italie où naquit Jacques de la Marche. 2. Ses restes sont conservés dans l’église Notre-Dame-laNeuve à Naples. 3. Jusqu’au xviiie siècle, l’Amérique s’écrivait parfois « La Merique ». 4. ...
... Depuis « La premiere terre », la phrase est reprise de la traduction par Jacques de Miggrode de la Brevísima Relación de la destrucción de las Indias (voir La Destruction des Indes de Bartolomé de Las Casas (1552), éd. ...
... Jacques-Paul Migne, Paris, Garnier Frères, vol. 13, 1845, p. 805). Toutefois, il apparaît clairement que Sagard paraphrase ici le récit de Claude Villette : « L’an 354. ...