Histoire du Collège des médecins du Québec

Histoire du Collège des médecins du Québec

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... Même dans les cas où il ne peut s’esquiver, il demande à ce dernier de lui rédiger une lettre de réprimande qu’il lit à haute voix devant le médecin fautif. ...

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... Le Collège souhaitait alors que le candidat « puisse acquérir une plus grande expérience en médecine de famille ou en spécialités sous le contrôle de cliniciens responsables ». ...

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... avec de nombreuses organisations liées à l’éducation médicale, telles que le Conseil médical du Canada, la Fédération des ordres des médecins des provinces du Canada, le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada, le Collège des médecins de famille ...

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... La Faculté de médecine de l’Université de Sherbrooke a été la première à abolir son programme d’internat au profit d’un programme de médecine de famille. ...

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... En ce qui concerne les médecins de famille, on favorise le développement de milieux de formation plus représentatifs de la médecine générale. ...

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... De plus, en raison de la qualité des outils d’évaluation utilisés en médecine familiale, l’examen des spécialités fait figure de parent pauvre par rapport à l’examen de médecine de famille. ...

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... La promotion d’une vision générale du rôle assumé par les spécialistes et les médecins de famille s’accompagne nécessairement de changements dans les programmes de formation. ...

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... Pourtant, certains craignent que les femmes médecins ne soient pas en mesure d’exercer une pratique continue en raison des périodes de maternité ou, pis encore, qu’elles abandonnent leur pratique de manière définitive pour se consacrer à leur famille. ...

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... par l’équipe dirigée par Roy dans le développement du Collège, il faut aussi souligner que la gérance de cette institution avait fini par ressembler, de l’avis de certains, à une entreprise familiale dirigée par un « père » totalement dévoué à sa « famille ...

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... De l’avis du président Bernier, le projet proposé devrait « faciliter la collaboration entre les sages-femmes, les médecins de famille et les gynécologues-obstétriciens, et respecter l’autonomie professionnelle des sages-femmes dans la pratique de l’obstétrique ...