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Histoire du Mile End
... Joseph Charles, cité par Edgar Andrew Collard, « Of Many Things », The Gazette, 15 mars 1966, p. 6. 3. « Coteau Saint-Louis », La Presse, 25 novembre 1893, p. 1. ...
... Avant même les nouvelles concessions le long des côtes de l’intérieur de l’île, la nécessité de chauffer Ville-Marie avait déjà créé une vaste zone déboisée, qui s’étend jusqu’au pied du mont Royal. ...
... car entretemps Robreau a épousé Marie-Louise Plessis-Bélair, la fille de Jean-Louis et la sœur de Charles21. ...
... Woolford s’est placé sur les flancs du mont Royal à la hauteur de l’actuelle rue Marie-Anne. La ville est encore largement contenue derrière l’enceinte des fortifications du xviiie siècle. ...
... Par exemple, la même année où commence sa location, en 1810, il obtient avec un associé un contrat pour démolir les bâtiments de l’ancienne citadelle et ainsi agrandir le champ de Mars. ...
... Erreur également pour la rue Marie-Anne, nommée en l’honneur de sa fille. Ces erreurs résultent du fait que, jusqu’à tout récemment, l’historiographie montréalaise ignorait tout du rôle joué par John Clark. 56. ...
... À Montréal, le mont Royal en devient l’incarnation ; ses flancs couverts d’arbres et les prairies qui l’entourent permettent d’échapper à une ville de plus en plus bruyante et polluée67. ...
... Après le décès de l’une d’elles, Marie-Julie Foretier, c’est son mari, Simon-Hippolyte Durocher, qui hérite de sa part. ...
... chapitre 2 • Les débuts de l’urbanisation du Mile End, 1842-1858 C’est pourquoi ladite communauté ose réclamer une légère part à la générosité si bien connue des citoyens de Ville Marie. ...