Histoire nationale à l'école québécoise (L')

Histoire nationale à l'école québécoise (L')

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... Ainsi, le traité Jay24 peut être vu comme un symbole à ce chapitre car il s’agissait d’une entente signée en 1795, consécutive à la Révolution américaine favorisant globalement les relations britano-américaines aux dépens des relations franco-américaines ...

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... Tel qu’on peut le voir au total, et tel que le rapport Parent le suggérait, l’histoire politique est non seulement présente, mais importante dans le traitement suggéré de l’histoire jugé par ailleurs par trop pancanadien par une majorité d’enseignants ...

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... Cela se termine par un traité assez élaboré de la guerre de conquête. ...

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... Pour la deuxième partie allant de 1791 à 1815, le traitement est plus économique et semble davantage redevable à l’historien Fernand Ouellet42. ...

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... La première période est celle de la Nouvelle-France, scindée en deux au traité d’Utrecht chez les francophones, annonciateur du dénouement militaire à venir : La Nouvelle-France 1534-171377, puis La Nouvelle-France 1713-176078. ...

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... Martineau, Robert (1999), L’histoire à l’école, matière à penser, Paris et Montréal, L’Harmattan, 399 p. 107. ...

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... Pour illustrer des aspects du changement d’Empire, on priorise le traité de Paris et la Proclamation royale de 1763. ...

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... Martineau, Robert (1999), L’histoire à l’école, matière à penser, Paris et Montréal, L’Harmattan, 399 p. ...

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... Le principal manuel anglo-québécois se permet davantage de liberté quant au traitement et à l’interprétation de l’histoire nationale. ...

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... Voir à ce sujet Robert Martineau (1999), L’histoire à l’école, matière à penser…, L’Harmattan, Paris et Montréal, 399 p. Aussi, voir Robert Martineau (1997), L’échec de l’apprentissage de la pensée historique à l’école secondaire. ...