... La dernière partie revient sur les liens de Cité libre avec l’école de Laval (1963-1966). ...
Histoire nationale du Québec (L')
... Les praticiens des sciences sociales de l’Université Laval se feront entre autres une spécialité de cette accusation d’idéalisme et se donneront la tâche de reprendre la description du Canada français « par les pieds18 », c’est-à-dire par la production ...
... C’est ainsi que Serge Gagnon désigne les historiens de l’Université Laval. S. Gagnon (1966), « Pour une conscience historique de la révolution québécoise », Cité libre, (83), p. 12. 48. ...
... Si Cook contribue dès 1965, dans les pages de Cité libre, à légitimer ces idées maîtresses de l’école de Laval, une lecture attentive de son recueil Watching Quebec (2005) permet de relever leur permanence. ...
... de l’école de Laval en viennent par conséquent à avaliser l’interprétation trudeauiste selon laquelle les Canadiens français auraient tout ce dont ils ont besoin pour s’affirmer à l’intérieur du cadre fédéral. ...
... Dans ce dernier texte, Ouellet entend démontrer que la Révolution tranquille consacre, quelque part, les idées de la Faculté des lettres et sciences sociales de l’Université Laval et de Cité libre contre celles de l’École historique de Montréal. 67. ...
... Lemieux (2019), L’histoire à l’école, matière à débats… Analyse des sources de controverses entourant les réformes de programmes d’histoire du Québec au secondaire (1961-2013), thèse de doctorat (administration et politiques de l’éducation), Université Laval ...
... CHARBONNEAU, Yvon (1980), L’émergence de la pensée de gauche pendant la Révolution tranquille, mémoire de maîtrise (science politique), Université Laval, 276 p. ...
... Olivier (2019), L’histoire à l’école, matière à débats… Analyse des sources de controverses entourant les réformes de programmes d’histoire du Québec au secondaire (1961-2013), thèse de doctorat (administration et politiques de l’éducation), Université Laval ...
... Parti pris : les Québécois (1967), Paris, Librairie François Maspero. Sur les liens entre les éditions Parti pris et Maspero, voir G. Fabre (2011), « Parti pris et Maspero », Bulletin d’histoire politique, 19 (2), p. 87-96. ...