... Au sujet de la thèse de la « Conquête providentielle », Groulx est le premier à la contester depuis François-Xavier Garneau. Il le fait d’abord dans son ouvrage Lendemains de conquête, publié en 1920, soit plus de sept décennies après Garneau. ...
Histoire nationale du Québec (L')
... Le contraste est marqué dès cette époque entre Groulx et Chapais, Groulx s’intéressant davantage aux dimensions économique et sociale et aux autres classes que l’élite que son collègue de Laval. ...
... Cette dimension économique en particulier, que Groulx met en relief, aura un impact sur l’historiographie ultérieure, même si ce fait n’est pas toujours reconnu : en effet, le débat entre les écoles dites de Montréal et de Laval sur la Conquête dans les ...
... Songeons aux milieux intellectuels de Québec groupés autour de l’Université Laval, comme Adjutor Rivard de la Société du parler français, Camille Roy ou, bien sûr, Thomas Chapais, mais aussi des collègues de ...
... 96 L’HISTOIRE NATIONALE DU QUÉBEC Groulx à l’Université Laval de Montréal, proches du Parti conservateur, puisque Groulx s’en prend à ces figures sacrées des partis politiques du moment, les « pères » de la Confédération. ...
... BÉLANGER, Réal (2013), Henri Bourassa : le fascinant destin d’un homme libre (18681914), Québec, Presses de l’Université Laval, 552 p. CHAPAIS, Thomas (1904), Jean Talon, intendant de la Nouvelle-France (1665-1672), Montréal, Imprimerie S.-A. ...
... MERCIER, Louis (2002), La Société du parler français au Canada et la mise en valeur du patrimoine linguistique québécois (1902-1962), Québec, Presses de l’Université Laval, 507 p. ...
... Thomas Chapais, décédé en 1946, avait pris sa retraite en 1937 et avait été remplacé temporairement par Albert Tessier qui a été chargé de cours à Laval (1937-1940). ...
... conquérant britannique sous un jour positif (dans la filiation de Joseph-François Perrault), la seconde sous l’angle d’une lutte (dans la filiation de François-Xavier Garneau). ...
... départements d’histoire de Laval et de Toronto), non seulement par une volonté de rapprocher les deux solitudes comme il le préconisait dans la querelle autour du manuel unique, mais aussi par l’idée d’une déficience des institutions canadiennes-françaises ...