Histoire nationale du Québec (L')

Histoire nationale du Québec (L')

Page 106

... Brunet (1963), Histoire du Canada par les textes, 2 volumes, Montréal et Paris, Fides ; G. Boulet, J. Lacoursière et D. Vaugeois (1964-1967), Le Boréal Express : journal d’histoire du Canada, 3 volumes, Québec, Septentrion. ...

Page 110

... L’école de Québec, en revanche, voit dans la condition sous-­ développée des Canadiens français une conséquence de leurs traits de mentalité, catholique, française, traditionnelle, conservatrice, et réfractaire au véritable capitalisme. ...

Page 111

... Groulx (1960), « Responsabilité de la monarchie », dans Histoire du Canada français depuis la découverte, Montréal et Paris, Fides, 1960, tome I, p. 363-365. ...

Page 113

... Cet ensemble de traits dénoterait chez eux un esprit réfractaire au capitalisme et une incapacité ou une difficulté à s’adapter au capitalisme industriel. ...

Page 116

... L’HISTOIRE NATIONALE DU QUÉBEC Embauché à Laval en 1949, Trudel se sent d’abord plus proche de Groulx (il est intégré au conseil administratif de l’IHAF dès 1948) et de ses jeunes collègues de Montréal que de son directeur Arthur Maheux, dont deux traits ...

Page 124

... Groulx (1960), Histoire du Canada français, tome 2, Montréal et Paris, Fides, p. 7. 61.  Ibid., p. 287-289. 62.  Ibid., p. 291. 63.  L. ...

Page 128

... Séguin (1973), « Le Québec », dans Québec-Canada, Éditions du Burin, collection L’Humanité en marche, Paris, p. 41-165 (texte réédité sous le titre Une histoire du Québec : vision d’un prophète, Montréal, Guérin éditeur, 1995, 215 p.). 76.  G. ...

Page 130

... De même, il notera le traitement injuste réservé à l’œuvre de Groulx dans l’analyse historiographique de Serge Gagnon en 1980 : M. Brunet (1980), « Compte rendu de [Serge Gagnon (1978). ...

Page 132

... Notons enfin les rééditions des manuels Farley et Lamarche en 1945 et du Rutché et Forget en 1949, traités dans le précédent chapitre91. ...

Page 133

... Dans la même veine, le manuel Plante et Martel évite le mot « conquête », mais parle d’un « dénouement tragique » en 1763 en se gardant bien de désespérer son lectorat : « Pour les Canadiens français, le traité de Paris fut un défi qu’ils ont accepté ...