Histoire populaire du Québec, tome 1

Histoire populaire du Québec, tome 1

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... Le 24 novembre, alors que l’armée anglaise n’est plus qu’à six milles du fort, le commandant François-Marie Le Marchand de Lignery fait sauter le fort avant de se replier sur le fort Machault. Le lendemain, note l’historien Ian K. ...

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... Le 7 juillet, l’officier français envoie un courrier à François-Marie Le Marchand de Lignery qui, à la tête d’une petite armée, marche contre le fort Pitt, dans la vallée de l’Ohio. ...

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... Jamais joie ne fut plus générale ; elle ranima le cœur de tout un peuple qui, pendant le cours d’un hiver des plus durs, avait été réduit à un quarteron de pain et demi-livre de cheval. » Faisant preuve d’une grande prudence, l’évêque de Québec, Henri-Marie ...

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... Plusieurs centaines de Canadiens sont arrêtés, dont, entre autres, le curé de la PointeLévis, Charles Marie-Madeleine d’Youville, le fils de mère d’Youville. ...

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... On lui remet un paquet scellé depuis le 11 mars 1756, paquet qu’il ne devait ouvrir qu’advenant la mort de Montcalm. La lettre qu’il contient est signée de la main du roi. ...

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... vaisseaux du roi seront prêts à faire voile pour l’Europe ; et on leur accordera toutes les commodités qu’on pourra. » En vertu de l’article 17, « les officiers de troupes et marins, qui seront mariés, pourront emmener avec eux leurs familles ; et tous ...

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... Quant aux soldats et matelots, ceux qui seront mariés pourront emmener avec eux leurs femmes et enfants et tous embarqueront, leurs havresacs et bagages. ...

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... Haldimand écrira à Murray, le 30 mars 1764 : « En privant les Canadiens des armes qu’on leur avait confiées, c’est les punir par un endroit bien sensible. » ...

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... Le grand vicaire de Trois-Rivières, Joseph-François Perrault, écrit à l’abbé Briand, à la fin de mars 1762, à la suite de cette affaire : « Nous aurons de grands arrangements à prendre, bien des croix et des humiliations à essuyer, supposé que le pays ...

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... Il écrit dans son rapport du 20 mars 1762 : L’Anglais et le Canadien sont sur le même pied et considérés au même degré sujets d’un même prince ; les soldats vivent en paix avec les habitants et de ce contact naissent des sentiments ...