Histoire populaire du Québec, tome 1

Histoire populaire du Québec, tome 1

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... Kirke est heureux que la présence française se perpétue à Québec. « Comme Louis Kirke était courtois, tenant toujours du naturel français et d’aimer la nation, […] écrit Champlain, il désirait obliger, en autant qu’il le pouvait, ces familles et les autres ...

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... On décide d’envoyer en Angleterre le sieur Daniel, porteur d’une lettre du roi de France adressée au souverain anglais lui demandant la restitution du fort et de l’Habitation de Québec et des autres ports et havres qui avaient été pris sur les côtes de ...

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... mais encore toute cette pauvre habitation de laquelle on ne voit plus que des murailles de pierres toutes bouleversées ; cela incommode fort les Français qui ne savent où loger. » Le lendemain de son arrivée à Québec, de Caën montre à Thomas Kirke les lettres ...

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... Aussitôt après les obsèques, l’orateur lit une lettre des associés de la Compagnie où il est dit que l’intérim sera assuré par Marc-Antoine Bras-de-Fer de Chateaufort. ...

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... La colonie s’enrichit, en 1636, de quarante-cinq personnes dont la plupart font partie des familles de Pierre Legardeur, sieur de Repentigny, et de Jacques Leneuf de La Poterie. ...

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... Ensuite, les familles viendront s’installer. Car, pour les débuts, on ne prévoit la présence que de célibataires. On cherche des chefs Jérôme Le Royer de la Dauversière recherche un chef capable de diriger l’expédition. ...

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... On consacre la nouvelle ville à la Sainte-Famille et décision est prise que l’établissement portera le nom de Ville-Marie. Dès que le fleuve Saint-Laurent est débarrassé de ses glaces, Maisonneuve ordonne le départ pour l’île de Montréal. ...

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... La morue, un poisson de la même famille que le merlan ou l’aiglefin, se trouve en abondance sur les Bancs, le long des côtes de TerreNeuve et dans le golfe Saint-Laurent. ...

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... Il faut croire que l’ordonnance n’est pas suivie à la lettre, car dix ans plus tard, soit en 1622, le Conseil privé du roi de France émet une nouvelle ordonnance plus sévère, menaçant de mort, cette fois, ceux qui remettront des armes à feu aux Amérindiens ...

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... Il y en a qui sont de bonne famille, d’autres qui ne sont que de simples habitants ; d’autres enfin qui n’ont aucune profession et qu’on appelle volontaires : le désir de gagner est commun à tous ces hommes. » La course des bois et la vie à l’amérindienne ...