Histoire populaire du Québec, tome 1

Histoire populaire du Québec, tome 1

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... Ils devinrent rapidement, entre les nations pourvoyeuses de fourrures et les Français, les intermédiaires indispensables ; coupées des nations du Nord par le pays des Hurons, ennemies au surplus des nomades de la famille algonquine, les Cinq-Nations paraissaient ...

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... Le 4 juillet, la mission de Saint-Joseph, composée de quatre cents familles, est complètement détruite. Le père Antoine Daniel est tué au sortir de la chapelle où il venait de terminer sa messe. ...

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... Le 27 janvier 1663, Maisonneuve émet une ordonnance établissant la Milice de la Sainte-Famille de Jésus, Marie et Joseph. Cinq jours plus tard, soit le 1er février, l’île de Montréal peut compter sur vingt escouades de sept volontaires. ...

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... À l’automne, Tracy répartit les compagnies entre les différents postes de la colonie : huit à Québec, cinq à Montréal, trois à TroisRivières, une à Sainte-Famille de l’île d’Orléans, deux au fort Richelieu, deux au fort Saint-Louis et les trois dernières ...

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... Le 20 avril, Bâtard Flamand et deux Onneiouts arrivent à Québec « sans avoir amené ni Hurons ni Algonquins, ni familles qu’on leur avait demandé ». ...

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... Quelques centaines de soldats sont, eux aussi, à l’origine de familles québécoises. ...

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... Quelques colons émigrent en Nouvelle-France avec leur famille, mais bon nombre le font à titre d’engagés. ...

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... Dans une lettre adressée à Colbert, le 29  octobre 1667, l’intendant Talon écrit  : «  Qu’il soit défendu à ceux qui seront chargés de la levée des passagers pour le Canada d’envoyer aucun homme qui ne soit au-dessus de seize ans et au-dessous de quarante ...

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... Deux autres septièmes descendaient de familles urbaines, filles d’artisans, de journaliers et de domestiques, actives avec du savoir-faire et ménagères de bon conseil, elles épaulent chaque jour le mari penché sur son labeur ou courant sus aux Iroquois ...

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... Même mariées, le sort de ces filles comporte des problèmes. « Quand une famille commence une habitation, écrit la supérieure des ursulines, le 29 octobre 1665, il lui faut deux ou trois années avant que d’avoir de quoi se nourrir, sans parler du vêtement ...