... Pendant que les colons français espèrent une aide des Anglais, les Iroquois harcèlent sans trève Ville-Marie et Trois-Rivières. ...
Histoire populaire du Québec, tome 1
... Le 14 octobre 1652, à Ville-Marie, les chiens décèlent la présence d’ennemis. Le major Lambert Closse réunit vingt-quatre soldats et part à la poursuite des Iroquois. Trois hommes sont détachés en éclaireurs : Étienne Thibault, Baston et un autre. ...
... Baston, le meilleur coureur de Ville-Marie, se porte volontaire. « Le major, ajoute Faillon, transporté de joie d’un tel geste de dévouement, donne aussitôt à Baston toutes sortes de témoignages d’amitié. ...
... Le 26 juin 1653, une soixantaine d’entre eux se présentent à Ville-Marie demandant que leurs chefs soient admis à l’intérieur du fort pour négocier une paix. ...
... Au début du mois de juin 1654, ces Hurons et ces Outaouais réussissent malgré tout à conduire à Ville-Marie des canots chargés de fourrures, faisant ainsi la joie des habitants. ...
... Le 17 juillet 1656, les hommes se mettent à l’ouvrage à Sainte-Marie de Gannentaha. Rapidement, ils terminent la construction d’un grand bâtiment qui sert de magasin et d’arsenal, d’une chapelle et de quelques maisons. ...
... 140 histoir e popu l a ir e du québec En guise de représailles, le gouverneur de la colonie ordonne l’arrestation de tous les Iroquois qui se trouvent à Québec, TroisRivières et Ville-Marie. ...
... Défense sur défense Ville-Marie n’est pas en état de se défendre convenablement. Maisonneuve émet des ordonnances règlementant les sorties hors du fort. ...
... La petite troupe part de Ville-Marie, le 19 avril 1660. L’endroit choisi pour l’attaque contre les Iroquois est le Long-Sault, à une soixantaine de kilomètres de Ville-Marie, sur l’Outaouais. ...
... l’Incarnation, outre environ une douzaine de grands chiens qui gardaient les portes du dehors, et dont la garde valait mieux, sans comparaison, que celle des hommes, pour écarter les Sauvages ; car ils craignent autant les chiens français que les hommes ...