Histoire populaire du Québec, tome 1

Histoire populaire du Québec, tome 1

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... Un des premiers objets de troc est la hache de traite qui remplace le tomahawk de pierre. « En effet, écrit l’historien Russel Bouchard, l’Indien constate rapidement la supériorité de la hache de métal quelle que soit sa forme. ...

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... Le plus offrant Afin de mettre un peu d’ordre dans la traite des fourrures, Alexandre de Prouville de Tracy, lieutenant général du roi en Amérique, fixe les prix qui, en 1665, sont les suivants : • une couverture blanche de Normandie : six castors • ...

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... traite. ...

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... sauvage ni de les tirer à part pour les faire traiter où il leur plaise, à peine d’amende ». ...

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... L’expression apparaîtra vers 1675 pour désigner ceux qui continuent à faire la traite sans autorisation des autorités. Les voyageurs munis d’un congé prennent le nom d’engagés. ...

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... Souvent ces aventuriers sont des fondateurs de postes de traite ou ...

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... Ils servent de trait d’union entre Français et Amérindiens dont ils parlent parfaitement la langue et connaissent bien la manière de vivre. ...

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... Hollandais et Français s’intéressent surtout à la traite des fourrures. Les premiers se sont alliés aux Iroquois qui leur servent d’intermédiaires dans le commerce. ...

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... Les Hollandais, principaux bénéficiaires de la traite avec les Iroquois, ne peuvent demeurer impassibles devant la destruction de leur commerce. ...

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... La guérilla iroquoise a comme conséquence immédiate de diminuer considérablement le volume de traite des fourrures. Les autorités françaises cherchent un moyen de mettre fin aux hostilités. Elles ont entre leurs mains deux prisonniers agniers. ...