Histoire populaire du Québec, tome 1

Histoire populaire du Québec, tome 1

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... Non loin de là, au fond de la baie de Chequamegon, ils construisent un petit fort et cachent leurs marchandises de traite. ...

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... faire la traite des fourrures avec les Hollandais. ...

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... Ils racontent « que deux navires avaient mouillé dans la baie d’Hudson et qu’ils avaient fait grande traite avec les Sauvages, s’y étant établis pour le commerce ». ...

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... Au cours de l’hiver, les deux explorateurs interrogent les Amérindiens qui viennent faire la traite sur le pays qu’ils doivent visiter. ...

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... Jolliet, vers 1676, demande la permission d’établir un poste de traite dans le pays des Illinois. ...

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... 210 histoir e popu l a ir e du québec dans le pays des Illinois près de l’actuelle Péoria, la construction d’un fort qui servira de poste de traite et il le nomme Crèvecœur « par allusion aux multiples déboires de l’explorateur ». ...

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... Comme l’île Perrot est située sur le chemin normalement suivi tant par les Amérindiens que par les coureurs des bois, Perrot y installe un poste de traite, détournant à son profit une partie des fourrures acheminées vers Montréal. ...

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... Vous y trouverez toutes sortes de rafraîchissements et de commodités que je vous ferai donner au meilleur marché qu’il se pourra, n’entendant pas que vous soyez traités autrement que des Français. […] Je porterai tous mes neveux à vous aimer et à ne rien ...

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... L’établissement d’un poste de traite à Cataracoui a soulevé l’ire de François-Marie Perrot et de ses amis. ...

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... Quelques jours plus tard, à Montréal, Philippe de Carion, un des hommes de Perrot, donne refuge à deux coureurs des bois qui faisaient la traite sans la permission de Frontenac. ...