... forment un corps constitué connu sous le nom de « Institution royale pour l’avancement des sciences » et « ils seront habiles et capables suivant la loi d’acheter, prendre, avoir, tenir, recevoir, jouir, posséder et détenir sans licence, en main-morte ou lettres ...

Histoire populaire du Québec, tome 2
... groupe des requérants, soulignent les problèmes d’approvisionnement à certaines périodes de l’année. « Les habitants de Montréal, depuis sa fondation jusqu’à aujourd’hui, ont été dans la nécessité de transporter du fleuve toute l’eau à l’usage de leurs familles ...
... Une session de guerre Au printemps de 1803, selon certaines rumeurs circulant tant à Montréal qu’à Québec, des émissaires de Bonaparte au nombre de ...
... Dans une lettre confidentielle datée du 1er juin, le lieutenant-gouverneur Milnes sent le besoin d’avertir les autorités de la métropole de la situation. ...
... Le 6 juin 1803, vers les trois heures de l’après-midi, les cloches annoncent qu’un incendie fait rage dans le faubourg Saint-Laurent. En moins d’une heure, plus de quinze maisons sont la proie des flammes. ...
... Encore des espions Le 2 décembre 1803, Barclay, consul général de la Grande-Bretagne à New York, avertit par lettre le lieutenant-gouverneur Milnes que Jérôme Bonaparte, le jeune frère de Napoléon « a l’intention d’aller à Albany pour communiquer avec ...
... À Londres, lord Camden, dans une lettre à Milnes datée du 7 juin, recommande la prudence. « Bien que rien ne paraisse confirmer la supposition qu’il y a des émissaires français dans la province, vous n’en devrez pas moins continuer à faire surveiller ...
... Dès le début de la campagne électorale, soit le 18 juin, la Gazette de Québec publie une lettre adressée aux électeurs de la province du Bas-Canada et signée du pseudonyme Le Canadien patriote. ...
... Il les exprime dans une lettre datée du 23 décembre 1804 : J’arrive à ce que vous dites relativement au clergé de cette province. Je l’appelle papiste pour le distinguer du clergé de l’Église établie, et pour exprimer mon mépris et mon exécration ...
... nommât une corporation ou des syndics pour les fins de l’instruction publique, qu’elle dotât ce corps du séminaire et de quelques autres propriétés, et qu’à même ces biens elle affectât une généreuse subvention annuelle aux personnes tenant en vertu de lettres ...