... Ryland ne reçoit la lettre de Craig que le 5 mars 1811. Il possédait déjà une copie du mandement puisque l’évêque anglican de Québec, Jacob Mountain, le lui avait fait parvenir en janvier. ...

Histoire populaire du Québec, tome 2
... Il est le père de famille, c’est à lui d’envoyer des ouvriers dans son champ, répond Plessis. — Oh ! ...
... Quelques jours plus tard, vraisemblablement même avant d’avoir reçu la lettre de Liverpool, Craig émet une proclamation confiant à Thomas Dunn, le plus ancien membre anglais du Conseil exécutif, l’administration de la province du Bas-Canada. ...
... Jacques Viger déclare à son frère, dans une lettre datée du 18 juin : « La Gazette de Québec nous annonce que Son Excellence part chargé des regrets de la province. ...
... Dans une lettre du 3 avril, Prevost assure à lord Liverpool que la correspondance de Craig ne contient rien d’autre que ce qui a été publié dans les journaux. Le gouverneur croit « que le prochain acte de M. ...
... Grande-Bretagne et d’Irlande et leurs dépendances et les États-Unis d’Amérique et leurs territoires ; et que le président des États-Unis soit et il est par les présentes autorisé à faire usage de toutes les forces navales et de terre des États-Unis ou lettres ...
... Le gouvernement fera les allouances fort généreuses pour le soutien des familles des Canadiens qui voudront servir dans ce corps. ...
... Une levée de miliciens Le 20 mai 1812, l’adjudant général des milices du Bas-Canada, François Vassal de Monviel, envoie une lettre à tous les officiers de milice de la province les avertissant de la levée immédiate de 2 000 hommes devant former quatre ...
... femmes, vos enfants, vos parents, vos propriétés, votre religion, vos temples, en un mot, tout ce qui vous est le plus cher. » En l’absence de l’évêque Plessis, le vicaire général de Québec, Charles-Joseph Brassard Deschenaux, envoie, le 29 juin, une lettre ...
... Le 24, Deschenaux expédie donc une lettre circulaire à tous les curés pour qu’ils exhortent leurs paroissiens à suppléer au manquement, en aidant autant que possible aux travaux que, sans le malheur des circonstances, les miliciens eussent faits eux-mêmes ...