Histoire populaire du Québec, tome 2

Histoire populaire du Québec, tome 2

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... Lebeau Saint-Laurent (Québec) H4N 1S2 Ventes en Europe : Distribution du Nouveau Monde 30, rue Gay-Lussac 75005 Paris ...

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... À l’appui de cette demande, il fait valoir que tout le commerce est entre les mains des Anglais et que le Code civil et la Coutume de Paris sont sources de problèmes sans nombre. ...

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... Ne voyez-vous pas que dans les conditions actuelles il y a cinquante à parier contre un que les Canadiens n’éliront pas un seul Anglais ? Avez-vous pris en considération cette question avant de demander par pétition des maîtres pour vous gouverner ?  ...

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... l e pr e m i e r pa r l e m e n t 37 Au cours du débat, Jean-Antoine Panet fait remarquer « que le roi d’Angleterre parlait toutes les langues et faisait des traités avec toutes les nations dans leurs propres langages ainsi qu’en anglais ; que Jersey ...

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... Jean Basset, vivant en Provence, présente le 27  janvier 1793 à la Convention nationale, à Paris, un mémoire où il affirme que « les Indiens, les Canadiens et les Illinois haïssent cordialement les Anglais [et que] tous sont nos amis et désirent nous ...

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... Les prêtres catholiques nommés par le peuple comme dans la primitive Église jouiront d’un traitement analogue à leur utilité. 12. Les dîmes seront abolies. Il sera établi des écoles dans les paroisses et dans les villes. ...

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... paraît essentiel que vous leur proposiez les considérations suivantes. » Et le pasteur énumère les six raisons pour lesquelles, selon lui, les Canadiens doivent demeurer fidèles à l’Angleterre : les capitulations de Québec et Montréal, ainsi que le traité ...

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... Il m’a traité de grossier parce qu’il avait son chapeau sur la tête en me parlant et que je lui ai ôté. Lorsque je voulais les faire taire, ils me disaient que les prisonniers avaient la liberté de tout dire.  ...

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... depuis le Canada jusqu’à Paris. » Prescott fait alors lecture de deux proclamations sur lesquelles l’assemblée se dit d’accord. ...

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... ’ils laissent à chaque instant percer leur attachement pour la France, tout en convenant qu’ils sont mieux traités par le gouvernement anglais ; que, s’il fallait lever une milice pour marcher en temps de guerre, la moitié ne s’armerait pas contre les ...