Histoire populaire du Québec, tome 3

Histoire populaire du Québec, tome 3

Page 571

... Trois jours plus tard, près de 10 000 personnes assistent au Champ de Mars, à Montréal, à une réunion au cours de laquelle on adopte une résolution à l’effet « qu’une souscription soit ouverte immédiatement pour donner à Louis Riel les moyens de porter ...

Page 586

... Le même soir, à Montréal, plusieurs milliers de personnes se réunissent sur le Champ de Mars, alors qu’une centaine de policiers patrouillent le voisinage. ...

Page 590

... » Le dimanche 22, à partir de midi, soit après la grand’messe dominicale, la foule commence à se masser sur le Champ de Mars, derrière l’hôtel de ville de Montréal. ...

Page 600

... Le 2 mars 1886, en effet, le député Philippe Landry de Montmorency dépose un avis de motion à la Chambre des communes. ...

Page 601

... l e s pe n da r ds • 1885-1888 601 L’intervention la plus importante reste, sans contredit, celle de Wilfrid Laurier, le mardi 16 mars. ...

Page 603

... Le vote sur la motion Landry se tient le 24 mars. La motion de blâme est rejetée par 146 voix contre 52. Sur les 64 députés de la province de Québec présents, 36 votent contre la motion. ...

Page 605

... ajouterai qu’ils ont peut-être été entraînés par le triste exemple que leur donnent mes compatriotes de l’autre côté de la Chambre. » Mercier profite de la circonstance pour répondre à ceux qui se sont moqués de lui parce que, lors de la réunion au Champ de Mars ...

Page 613

... Le lendemain, à dix-huit heures, un nouveau ministère, présidé par Mercier, est assermenté, mais comme il est à peu près impossible de procéder immédiatement aux travaux sessionnels, l’Assemblée est à nouveau ajournée au 16 mars. ...

Page 616

... Pour le journaliste Alphonse Desjardins, Langevin doit céder sa place à Chapleau ou à un autre chef. « Il faut ici un changement, écrit-il le 15 mars à Rodrigue Masson. ...

Page 617

... l e s pe n da r ds • 1885-1888 617 Remise en cause L’administrateur de la province de Québec, Andrew Stuart, en l’absence du lieutenant-gouverneur Masson, prononce le discours du Trône de la première session de la sixième Législature, le 16 mars 1887 ...