Histoire populaire du Québec, tome 3

Histoire populaire du Québec, tome 3

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... Or, si cette proposition est juste, n’est-il pas vrai que le peuple de Québec possède le remède en supposant qu’il aurait à se plaindre d’avoir été traité injustement ? ...

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... Jonathan Saxton Campbell Wurtele se rend négocier l’emprunt à Paris, au cours de l’été de 1880. La Banque de Paris et des Pays-Bas ainsi que les frères Cahen d’Anvers sont d’accord pour prêter 4 000 000 $ à un taux d’intérêt annuel de 5 pour cent. ...

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... La rumeur se répand que la Chambre des communes du Canada s’apprête à étudier un projet de loi pour créer un nouveau crédit foncier qui entrerait en concurrence directe avec celui qui s’établit entre Paris et Québec. ...

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... Ils n’ont du reste qu’un trait de ressemblance avec le vrai castor. Ils font leur ...

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... Ces lots m’appartenaient en vertu des différents paragraphes du même article 31 du traité dont je viens de parler. C’est le gouvernement canadien qui, directement ou indirectement m’a privé de ces propriétés. ...

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... Ils rappellent le traité qu’ils ont signé avec le lieutenant-gouverneur Alexander Morris. « Nous ne nous occupons, écrivent-ils, que des obligations du traité et de nos travaux sur la réserve. ...

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... Riel et Cie sont simplement traités comme ils ont traité les autres. Si cela leur est désagréable, ils n’ont à s’en prendre qu’à eux-mêmes, bien que les troupes devraient donner un meilleur exemple. ...

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... Si le Québec ne veut pas cesser d’implorer la charité et de quêter à la cuisine de la Puissance, il va falloir la traiter comme on traite les vagabonds et lui enlever ses franchises. ...

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... riel ii 565 vingt fois au moins, je lui ai dit que je ne voulais pas traiter ces matières-là, parce qu’il était fou, parce qu’il n’avait pas son bon sens. » Le père Vital Fourmond intervient dans le même sens. ...

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... Confédération, car cela voudra dire que la majorité coalisée aura cessé de respecter les droits de notre minorité, et nous croyons qu’une association politique, tout comme une société commerciale, ne peut exister qu’à la condition que tous les associés soient traités ...