... tant dans l’industrie que directement sous l’égide de l’État ; 9) Les appels et la pression auprès des patrons peu enclins à embaucher la main-d’œuvre féminine ; 10) La modification des restrictions visant à l’emploi des femmes et surtout des femmes mariées ...
Histoire populaire du Québec, tome 4
... Les services d’information du gouvernement fédéral révèlent, à la fin du mois de mai, que le 4 mars précédent deux torpilles ont explosé près de Saint-Jean à Terre-Neuve. ...
... Dans son numéro de mars 1942, la revue Relations, publiée par l’École sociale populaire de Montréal, dirigée par les Jésuites, énumère les problèmes qui naissent de la nouvelle façon de vivre des femmes. ...
... Il affirme que « la femme mariée qui a de jeunes enfants ne devrait pas être admise aux usines de guerre, et encore moins dans les équipes de nuit. ...
... Le nombre de femmes mariées qui gagnaient un salaire doubla pendant la guerre : en 1945, 20 % des travailleuses québécoises étaient mariées. ...
... Le 16 décembre 1942, le ministre fédéral du Travail annonce que les hommes mariés de 19 à 25 ans sont désormais mobilisables. ...
... » Le 23 mars, J. N. ...
... Par contre, tous les hommes de 19 à 40 ans, célibataires, veufs, divorcés ou séparés de corps, sans enfants, ainsi qu’un certain nombre de jeunes gens mariés de moins de 25 ans, sont appelés sous les armes. ...
... En mars, René Chaloult soumet une motion exprimant « l’avis que, reflétant l’opinion de la très grande majorité du Québec et des Canadiens français, cette Chambre regrette que le gouvernement fédéral ait passé une loi ayant pour objet de permettre l’envoi ...
... Mince marge de manœuvre Par arrêté en conseil, en date du 12 mars 1943, les conscrits canadiens sont appelés à servir en Jamaïque, en possession britannique. À cette époque, l’industrie de guerre du Canada fonctionne à plein rendement. ...