Histoire populaire du Québec, tome 5

Histoire populaire du Québec, tome 5

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... Le représentant du Québec, Paul Gérin-Lajoie, affirme que son gouvernement considère que, pour changer ce qui a trait à la propriété et aux droits civils, l’accord unanime de toutes les provinces est essentiel. ...

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... Outre qu’ils sont blessés dans leur fierté, c’est autant de traitements importants qui vont à d’autres. ...

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... Lussier, qui était jusqu’alors le directeur de la Maison des étudiants canadiens à la Cité internationale universitaire de Paris, est nommé délégué général du Québec. ...

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... Il vient pour traiter d’affaires qui sont bel et bien françaises. ...

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... 164 Histoire populaire du Qubec Le 27 février 1965, signature à Paris de l’entente France-Québec sur l’éducation, par Paul Gérin-Lajoie et Christian Fouchet. ...

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... Entretemps, la Délégation générale du Québec à Paris a changé de statut. ...

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... On croyait qu’il s’agissait d’une ruse pour induire en erreur les Indiens visés par les traités. » Avant 1960, sur les 60 000 adultes qui vivaient dans les réserves, seulement 122 se sont prévalus du droit de vote. ...

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... Jusqu’aux années 1960, les Inuits – qu’on appelle encore Esquimaux – sont traités à part des Amérindiens. ...

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... Il dénonce aussi le traitement des Autochtones dans les manuels d’histoire et recommande qu’ils soient « émondés et rectifiés de façon à faire mieux connaître les civilisations amérindiennes et à présenter une image plus vraie des Indiens d’Amérique » ...

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... L’Angleterre, au contraire, reconnaît ces droits dans la common law, ce qui explique qu’elle les rachète par des traités. La Loi d’extension des frontières de 1912 le confirme. ...