Hubert Biermans

Hubert Biermans

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... Souvent ils se taisent, ce qui n’empêche pas de savoir que, lorsqu’un employé tombe malade, il visite la famille afin de s’assurer que personne ne manque de rien. ...

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... Patron et ouvriers ne font-ils pas partie d’une même famille ? Est-ce que la recherche du bien-être de l’entreprise n’est pas un objectif commun ? Dans cette optique, il faut éviter les conflits. ...

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... Cet homme s’appelle Willie, un nom dont il prononce la première lettre à la manière germanique, comme un V. Depuis quelque temps, Willie Chrétien bénéficie d’un avantage qui suscite l’envie de ses voisins. ...

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... Dans le même esprit, qui consiste à protéger les employés et leur famille des coups du sort, la Belgo leur offre gratuitement une assurance vie. L’indemnité varie en fonction de l’ancienneté. ...

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... Certes, Hubert reste attaché à son Limbourg natal et il entretient des contacts, quoique assez rares, avec sa famille. Mais c’est la Belgique qui lui a donné ses premiers emplois, la femme de sa vie et des amitiés indéfectibles. ...

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... Il exprime ce sentiment dans une lettre que son secrétaire expédie au cousin de Berthe à Bruxelles : « Le marché du papier est plutôt mauvais en Amérique. ...

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... Avec application, il écrit des lettres et des signes qui semblent épouser le débit des orateurs. En vérité, notre journaliste est un sténographe émérite ; rien ne lui échappe. ...

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... Le 12, il loge à l’hôtel Belmont à New York et déjà il répond à une lettre que A. Dehauffe lui a fait parvenir. ...

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... Retour en Europe Si madame Biermans doutait encore des intentions de son mari quant à son avenir, elle n’aurait eu qu’à prendre connaissance de cette lettre. ...

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... Les formules qui concluent les lettres sont invariablement les mêmes. La signature de H. Biermans est précédée de « Bien cordialement à vous » tandis que son secrétaire envoie ses « sentiments les meilleurs et très 130 ...