Indiens de l'Ouest canadien vus par les Oblats (Les)

Indiens de l'Ouest canadien vus par les Oblats (Les)

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... Son intérêt pour la photographie remonte au moins à l’année 1877, où il achète des photographies en Bretagne et à Paris. À Paris également il achète 100 vues stéréoscopiques43. ...

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... Peter POLLACK, Histoire mondiale de la photographie, Hachette, Paris, 1961, p. 206-225. 7. ...

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... , mais que nous ne pourrons dessiner qu’à grands traits. ...

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... Ce trait de caractère pourrait s’apparenter à celui d’un chef de famille qui détient le privilège d’user de l’appareil familial (cf. ...

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... Dieu a créé l’homme à son image et aucune machine humaine ne peut fixer l’image de Dieu ; il lui faudrait trahir tout à coup ses propres principes éternels pour permettre qu’un Français, à Paris, lançât dans le monde une invention aussi diabolique ”. ...

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... des missions nordiques (Émile PETITOT, Lettre à Mgr Grouard, Paris, 27 décembre 1874, op. cit.). ...

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... Ce dernier phénomène était lié en partie au fait que les Cris des Plaines, arrivés seulement vers le début du XVIIIe siècle dans l’Ouest, et liés depuis longtemps à la traite des fourrures, protégeaient leurs positions et empêchaient les tribus de la ...

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... Par contre, ces réserves sont parmi les plus grandes du Canada ; les Indiens des Plaines, y compris les Cris, avaient presque réussi à créer un territoire indien lors des négociations du Traité 714. ...

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... D’autre part, si les Amérindiens du Traité 7 n’avaient « ni progressé ni régressé » depuis la signature du traité, il est certain que les photographies des années 1920 se font plus moroses d’une certaine manière, et se reportent plus généralement vers ...

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... C’est un thème que l’on retrouve assez fréquemment, et qui a été également traité par Oliver Buell, dans un retirage qui se trouvait dans le corpus des Oblats (35). ...