Indiens, Eurocanadiens et le cadre social du métissage au Saguenay-Lac-Saint-Jean

Indiens, Eurocanadiens et le cadre social du métissage au Saguenay-Lac-Saint-Jean

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... Sans compter que McLeod, à l’instar d’autres Eurocanadiens, s’adonnait aussi au commerce des fourrures avec les Indiens du Lac-Saint-Jean au mitan des années 1840109, au point où la Compagnie de la Baie d’Hudson envisagea de déménager son poste de traite ...

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... Néanmoins, une distinction peut certainement être faite entre les traits culturels observables parmi les caractéristiques matérielles, comportementales et discursives d’une population donnée, et les traits culturels de nature idéologique, moins tangibles ...

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... eurocanadiens et le cadre social du métissage… aux individus désignés comme Métis du Saguenay–Lac-SaintJean sur la base de leurs comportements économiques, peut-on envisager qu’au-delà des similitudes observées sur ce plan ceux-ci ont possédé et partagé des traits ...

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... manière, de se considérer comme les traits d’union entre le naturel et le surnaturel. ...

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... Aussi, l’impression qui demeure est que les Métis actuels seraient porteurs de traits culturels distinctifs sur le plan idéologique, mais distinctifs dans la mesure où, à une époque relativement récente, ces mêmes traits, jusque-là partagés par les Indiens ...

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... Or, pour qu’il y ait existence d’une communauté effective, il faut que les individus qui s’en réclament partagent un certain nombre de traits de nature psychologique et organisationnel. ...

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... succès, tantôt à des débordements dont les pratiques agressives de l’exploitant forestier Peter McLeod fils en matière de traitement des employés se veulent les plus connues5. ...

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... Enfin, un recensement de 1831, réalisé par la Compagnie de la Baie d’Hudson, faisait état de 76 individus rattachés au poste de traite du Lac-Saint-Jean34, un nombre semblable à celui qui avait été rapporté par l’abbé Doucet en 1839. ...

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... Ces traits culturels ...

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... De plus, ces individus qualifiés de Métis n’avaient pas recours à une langue qui leur était propre, ni à des traits culturels consciemment mis de l’avant pour marquer leur différence par rapport aux Indiens et aux Eurocanadiens. ...