Institut Raymond-Dewar et ses institutions d'origine (L')

Institut Raymond-Dewar et ses institutions d'origine (L')

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... à la famille que, si l’enfant est intelligente, elle peut acquérir certaines connaissances. ...

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... Il en résulte la création de ce que l’on appelle alors familièrement la « famille sourde », qui, en plus des sourds, inclut aussi tous les entendants qui s’intéressent à eux. ...

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... Il change de nom en 1958 pour devenir simplement le ministère du Bien-être social et enfin le ministère de la Famille et du Bien-être social en 1961. En 1970, ce ministère devient le ministère des Affaires sociales. ...

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... 134 l ’ ins titut r aymond - de war e t se s ins titutions d’origine d’autres familles religieuses. ...

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... Jusque-là, l’Institution considérait que ceux-ci relevaient de la responsabilité de leur famille. ...

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... Comme l’institution des garçons, celle des filles est le cœur d’une large « famille » formée entre autres par les religieuses, les élèves actuelles et anciennes, les bienfaiteurs et les bienfaitrices de l’Institution, ainsi que les pensionnaires sourdes ...

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... Comme cette aile loge la plus grande partie des élèves et de leurs classes, les religieuses n’ont d’autre choix, une fois les cendres refroidies, que de renvoyer les élèves dans leur famille jusqu’à l’automne suivant. ...

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... L’abbé Hébert définit le but de l’organisation dans une lettre qu’il adresse à l’archevêque de Montréal, Mgr Joseph Charbonneau, le 29 janvier 1946 : 1o Posséder un dossier – le plus complet possible – de chacune des anciennes élèves. ...

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... Il s’agit en quelque sorte d’une extension naturelle des services de pastorale que l’Institution offre aux sourdes montréalaises et à leurs familles. ...

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... L’après-guerre voit un foisonnement de colonies de vacances qui surgissent un peu partout au Québec, question de permettre aux jeunes de familles urbaines de reprendre contact avec la nature. ...