Insurrection des patriotes à Beauharnois en 1838 (L')

Insurrection des patriotes à Beauharnois en 1838 (L')

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... Le 15 octobre, toujours sous la pluie, les Ellice quittent Beauharnois pour Québec, en passant par Montréal, afin d’y faire leurs adieux à lord Durham et à sa famille. ...

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... Tous les jours, nos prisonniers échangeaient des nouvelles avec les dames de leurs familles laissées à Beauharnois ». ...

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... Il relate par lettres les sévices subis par les patriotes et les populations civiles des villages de Beauharnois, Châteauguay et Sainte-Martine, plus particulièrement. ...

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... C’est Eustache Masson, note Jane, qui ouvre et qui traduit pour les capitaines le contenu des lettres. Jane ne mentionne pas que ce même Eustache Masson a enterré sa mère la veille. ...

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... Nous mourrons tous plutôt que de laisser nos familles ». Les patriotes se rallient et décident de tendre une embuscade à l’armée dont la cavalerie fait déjà entendre ses sabots. ...

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... Le père traduisait les lettres d’Edward pour les patriotes, devant une Jane captive et fulminante. ...

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... Une lettre révélatrice Louis Perreault (1807-1866) est journaliste et imprimeur. Partisan des patriotes, il se réfugie aux États-Unis après la deuxième insurrection. ...

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... Louis Perreault, dans une longue lettre datée du 19 février 1839, transmet à LouisJoseph Papineau les propos du Dr Masson. La répression donne lieu à des scènes de pillage et de vol. ...

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... Louis Perreault, dans sa lettre à Papineau, dresse un bilan chiffré des pertes subies dans la région. À Saint-Timothée, 4 maisons et 3 bâtiments sont brûlés, dont celles de FrançoisXavier Prieur et de Charles Rapin ; 60 familles sont pillées. ...

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... Toujours selon les renseignements contenus dans la lettre de Perreault, « un nommé André Papineau […], se trouvant chez lui en novembre dernier, fut dépouillé de ses hardes, une corde au col, les mains liées derrière le dos, attaché derrière une charrette ...