... La lettre de Perreault se poursuit ainsi : « avec un câble, les attachèrent par le col, les placèrent à une distance d’un pied l’un de l’autre, après leur avoir aussi lié les mains derrière le dos, puis nouant le câble à une charrette, ils conduisirent ...
Insurrection des patriotes à Beauharnois en 1838 (L')
... Et lui, le père de famille, a-t-il appris avant d’être exécuté que sa fille avait été violée ? D’autres scènes tout aussi odieuses de viol collectif ont également été documentées à Châteauguay et à SainteMartine. ...
... Le régime alimentaire des prisonniers s’est amélioré : les familles peuvent venir porter de la nourriture aux hommes. Souvent, ce sont des familles entières dont les hommes sont emprisonnés. ...
... (Photo de l’auteur) xactions plusieurs jours après la débâcle des e patriotes, si l’on en croit un autre extrait de la lettre que Louis Perreault adresse à Papineau le 19 février et dans laquelle il détaille les atrocités pratiquées par les Volonteers ...
... Plus loin, Prieur ajoute que « cet homme [Brown] s’était acharné contre la famille d’un habitant du village de Beauharnois, M. ...
... La brutalité des Glengarries Le colonel Charles Grey (1804-1870), 34 ans, est l’officier commandant du 71e Régiment qui a donné l’assaut sur le village de Beauharnois. ...
... La deuxième source qui confirme la présence d’Edward Ellice à la prison du Pied-duCourant se trouve dans une lettre du patriote Louis Perreault. ...
... En effet, arrivée la veille à New York, elle reçoit deux lettres le 25 novembre : l’une de madame Grey, et l’autre du colonel Philpotts. Une de ces lettres, ou les deux, on ne sait, lui apprend que JeanBaptiste-Henri Brien a été pardonné : « Capt. ...
... le transfert des 52 patriotes de Beauharnois vers Montréal. « Sur les huit heures, écrit Rapin, des soldats montent à notre prison. » Prieur explique : « Après nous avoir fait subir un interrogatoire, on nous lia deux à deux, presque tous pères de famille ...
... Dans une lettre adressée à Louis-Joseph Papineau et datée du 2 janvier 1839, Louis Perreault écrit : « Il paraît que le pillage a été porté à son comble, tant par les troupes régulières que par les volontaires. » Plus loin, il signale la présence de centaines ...