Iroquoisie, tome 3

Iroquoisie, tome 3

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... Les principaux avantages du poste seraient les suivants : contrôler les mouvements des Iroquois lorsqu’ils vont à la chasse et les obliger, de gré ou de force, en passant, de faire la traite de leurs fourrures ; empêcher les Anglais et les Iroquois de ...

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... Ceux-ci, semble-t-il, voulaient les regrouper, comme les Illinois, autour du fort SaintLouis, pour faciliter la traite et aussi les mieux défendre ou se défendre avec eux en cas d’attaque des Iroquois. ...

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... Pendant ce temps, des Miamis infligent de mauvais traitements au père Allouez à la baie Verte parce qu’il a négocié avec eux leur retour à Chicago. Pourquoi les Iroquois ont-ils attaqué les Miamis ? On l’ignore. ...

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... Il a convoqué les Iroquois à Albany, dit-il, pour leur donner l’ordre de ne pas aller du côté nord des Grands Lacs, donc à Katarakouy, et de ne pas troubler les Indiens et les traiteurs de ces régions. ...

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... les Tsonnontouans diront : « Nous reconnaissons les Français par leurs habits, et les autres chrétiens par leurs habits, et si nous leur enlevons leurs marchandises, ceci va créer des troubles ou la guerre... » Les tribus refusent donc de piller les traiteurs ...

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... Il ordonne aux Iroquois de libérer de Dongan leurs prisonniers hurons et outaouais, car Iroquois et Anglais doivent s’efforcer se radicalise. de faire paisiblement la traite avec les peuples qui contrôlent et conduisent un grand commerce de pelleteries ...

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... Les Iroquois, se sentant appuyés par les Anglais, se permettent plus de choses qu’auparavant ; les Anglais lancent aussi directement les Iroquois sur plusieurs pistes, comme la destruction des missions françaises en Iroquoisie, l’arrêt de la traite avec ...

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... Non seulement celui de Katarakouy, mais aussi celui des traiteurs de Katarakouy, chez les Tsonnontouans, celui de Niagara. Mais encore celui, plus considérable et plus important des Hurons-Outaouais. ...

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... Au Un agent mois de novembre, Denonville en aura d’autres à envoyer à Paris. Un Français double loyal. du nom d’Antoine L’Epinart, résidant chez les Hollandais, est venu Montréal. ...

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... L’an passé, quelques-uns de nos gens allèrent en traite parmi les Indiens éloignés nommés Outaouais qui habitent à une distance de trois mois de voyage à l’ouest et au nord-ouest d’Albany et ils en rapportèrent beaucoup de castors. ...