... Duchesneau veut convoquer les Iroquois à Montréal, et sans délai, car toutes les lettres qui viennent de l’Iroquoisie indiquent que les Iroquois se préparent à partir pour la guerre au printemps. ...
Iroquoisie, tome 3
... Il supplie par lettre le gouverneur de convoquer immédiatement les ambassadeurs iroquois pour le mois d’août, sinon les Iroquois croiront que les Illinois leur sont abandonnés et qu’ils peuvent les attaquer à leur fantaisie. ...
... Les Kiskakons redoutent une attaque des Iroquois contre leurs familles mais pour régler cette affaire, il faut attendre les Hurons qui ne sont pas arrivés. ...
... La Salle avait abordé la question dans une lettre qu’il lui avait envoyée en septembre 1680. « Il ne faut pas s’étonner, disait-il, que les Iroquois parlent d’aller en guerre contre nos alliés, puisque chaque année ils en reçoivent des insultes. ...
... Il leur confie aussi des lettres pour leurs missionnaires, il met ces derniers au courant des décisions prises aux conseils. Par leur entremise, les Français de l’ouest sauront quelle conduite tenir en cas de conflit. ...
... Il a maintenant sa lettre de rappel. ...
... Dans une lettre qu’il écrira à Frontenac, il dira que le chef onnontagué semblait très satisfait de la réception cordiale qu’il avait reçue à Montréal et des beaux présents qu’on lui avait donnés. ...
... On le constate très bien dans une lettre que le père Jacques de Lamberville écrit le 20 septembre et qui sera suivie par d’autres du même genre. ...
... En relisant ses lettres aujourd’hui, ce manège apparaît clairement. Mais une fois Frontenac parti, la mise au point ne se fait plus et les propos sont acceptés tels quels. ...
... En 1682, la Nouvelle-France a reçu peu de peaux de castor, car les Indiens alliés sont restés en bonne partie chez eux, après le meurtre du capitaine tsonnontouan, pour protéger leurs familles ; ils attirent les Français chez eux pour recevoir de l’assistance ...