Jean Mauvide. De chirurgien à seigneur de l’île d’Orléans au XVIIIe siècle

Jean Mauvide. De chirurgien à seigneur de l’île d’Orléans au XVIIIe siècle

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... Il s’est marié à Marie-Louise Fortier, fille d’Antoine Fortier, maître de barque de SaintLaurent, en 1698. ...

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... On doit donc souligner l’habileté de Jean Mauvide et de sa femme Marie-Anne Genest qui ont convaincu quatre héritiers de feu Joseph dit Lapointe de leur vendre leur part de terre à eux, plutôt qu’à leurs voisins de toujours, les Asselin et les Genest. ...

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... Le premier enfant est un garçon, Jean (date inconnue) ; suit Marie-Anne, l’aînée des filles, en 1736, puis Marguerite en 1738, Laurent en 1740, et enfin Madeleine en 1742. ...

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... 92 • jean mauvide Les signatures de Marie-Anne Constantin, veuve Hamel, et de Jean Mauvide au bas de l’acte de vente d’un tiers d’une société de pêche au Labrador. droits qu’elle détenait depuis le décès de son mari dans cette société. ...

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... (Peutêtre est-ce un hasard mais Jean Pépin, de Saint-Jean, obtient justement un contrat de maçonnerie à Québec, le 27 mars 1752.) ...

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... Voyons jusqu’à quel point Jean Mauvide et sa femme Marie-Anne Genest tenaient à devenir seigneur et seigneuresse en titre de l’île d’Orléans, avec tous les droits, privilèges, revenus et obligations que cela apportait et comportait, plutôt que de rester ...

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... Marie-Anne Genest, épouse de Jean Mauvide, approuvera elle aussi ces conditions d’achat et devra elle aussi s’engager solidairement par écrit avec son mari, mettant dans la balance tous les biens de la famille. ...

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... Sa femme, Marie-Anne Genest, originaire de l’île d’Orléans et fille d’un artisan qui s’habillait à la canadienne, une femme besogneuse, s’habillait sans doute à peu près de cette façon, les jours de fête. ...

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... jean mauvide devient seigneur de la moitié de l’ile d’orléans • 113 gneurie, avant qu’il ne la cède à l’un de ses gendres, René-Amable Durocher, époux de Marie-Anne Mauvide, l’aînée des filles, en 1779. ...

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... Il est donc tout à fait certain que Marie-Anne Genest a lu dans le détail l’acte de vente, et qu’elle en a approuvé toutes les clauses, à l’intérieur des trois mois requis, estimant elle aussi que le risque en valait la chandelle et que l’île d’Orléans ...