Jean Vadeboncoeur et Cie

Jean Vadeboncoeur et Cie

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... Gaskell s’était entendu avec Murgatroyd de Québec pour mettre au point les deux trophées de chasse, dont l’un allait être donné à Marie-Anne ; de suite, Jean avait envoyé un bon morceau de venaison à Mme  Lafrance. ...

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... Leur dépouille n’est d’aucune utilité pratique, mais les peaux des autres animaux attrapés étaient en valeur ; le produit de leur vente allait permettre à Jean d’offrir à Marie-Anne une belle fourrure confectionnée. ...

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... C’est pourquoi Georges a venu cultiver la terre de la vieille tante en été, avec l’aide d’son jeune frère, qui restait faire l’train quand mon mari, – nous étions pas mariés alors – allait en hivarnement27 dans le Saint-Maurice. ...

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... Celui qu’il avait pour Marie-Anne était encore dans l’état d’une plante qui n’a pas ouvert ses boutons. ...

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... C’était un cadeau original à faire à une demoiselle, et ce ne fut pas sans appréhension que Jean le fit porter à Marie-Anne. Ce geste assez révélateur ne manqua point d’occasionner une petite sensation. ...

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... Bien qu’elle eût déjà exprimé sa reconnaissance par écrit, Marie-Anne vint avec sa mère pour remercier son jeune ami. ...

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... Les dames Ursulines de Québec, qui comptaient Marie-Anne parmi leurs élèves, avaient autorisé ses absences pourvu qu’elle continuât ses études, sous la direction de sa mère. ...

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... En sa complexité, le sentiment qu’inspirait Marie-Anne fut bientôt éprouvé par un nouveau venu dans l’hôtellerie des Vadeboncœur, M. Baptiste Barsalou. ...

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... Son frère avait toujours eu envers Marie-Anne des égards qu’il fallait maintenant accentuer en les nuançant de galanterie. ...

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... Les deux amateurs de tennis s’étant mutuellement remerciés, Marie-Anne alla rejoindre sa mère, qui avait exprimé l’intention de l’emmener faire visite aux Gaskell, revenus chez eux depuis quelques jours. ...