Journal de Majorique Marchand, curé de Drummondville, 1865-1889 (Le)

Journal de Majorique Marchand, curé de Drummondville, 1865-1889 (Le)

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... 76 LE JOURNAL DE MAJORIQUE MARCHAND J’ai mis à la malle ce soir une lettre à Monseigneur Laflèche, lui demandant les pouvoirs et directions nécessaires pour établir une fraternité du Tiers-ordre en cette paroisse. ...

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... Néanmoins, je ne lui en veux pas, et je le plains bien de tout mon cœur, ainsi que sa famille qui est, je le pense bien, dans une véritable détresse de ce temps-ci. ...

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... . — Vers onze heures ce matin, je venais de terminer ma lettre en réponse à la circulaire de Monseigneur sur la division projetée du Diocèse15, lorsque je vis arriver mon cher voisin Alexandre et bon jeune vicaire. Grand plaisir! ...

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... Un certain nombre de ces refusés n’étaient certainement pas appelés puisqu’ils n’avaient pas l’âge requis, et que surtout ils ne savaient presque pas la lettre du catéchisme. ...

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... Aussi, dans ces temps, il y avait plus d’esprit de famille, on veillait plus ensemble, parce que probablement il y avait ce coin du feu, qui n’existe plus aujourd’hui dans nos habitations bâties à la vas te faire foutre, comme le disait énergiquement ...

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... Je conduis la petite nièce chez Éliza, où nous soupons en famille et je vais coucher au Séminaire. ...

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... J’ai sur mon bureau une quinzaine de lettres. De la besogne par conséquent. Répondons aux plus pressées; préparons un petit sermon pour demain, et allons nous coucher ensuite. Il sera déjà tard. R ...

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... J’ai passé mon temps à écrire des lettres, et régler mes comptes avec les ouvriers charpentiers et maçons travaillant au Couvent. ...

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... Ce matin, j’ai reçu une lettre d’un ami de bien loin, de Rouleau Luc, le curé de Matane, Comté et Diocèse de Rimouski. Le bon ami ...

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... j’ai hâte d’avoir un grand presbytère pour recevoir plus convenablement tout ce monde, surtout les ecclésiastiques en vacances, qui sont réellement bien mieux dans un presbytère que dans leurs familles. ...