Journal de Majorique Marchand, curé de Drummondville, 1865-1889 (Le)

Journal de Majorique Marchand, curé de Drummondville, 1865-1889 (Le)

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... Il cherche à promouvoir la piété mariale — par l’archiconfrérie, le rosaire, les exercices du mois de Marie — et les dévotions envers saint Joseph et sainte Anne. Surtout, il s’applique à cultiver la pratique eucharistique. ...

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... Marchand trouvait «bien triste de revenir à l’enseignement laïque» après avoir «goûté aux religieux» et amorça de nouvelles démarches qui portèrent fruit puisque les Petits Frères de Marie (Maristes) vinrent établir une académie en 1891. ...

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... S’ouvre alors une période intense de fêtes et de dévotions de quatre mois: saint Joseph en mars, puis les fêtes du Christ ressuscité avec Pâques et l’Ascension, bientôt suivies de la FêteDieu et de la Pentecôte. ...

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... C’est ainsi que s’exprimait le cardinal Antonelli, secrétaire d’État, dans une lettre aux archevêques de France, le 12 mars 1855. ...

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... J’ai fort goûté les musiques de ma petite nièce Jeannette, et des Demoiselles Manseau et Marie Dionne, ainsi qu’une cantate habilement dirigée par ma Sr M. St-Bernard. Puis j’ai soupé en présence des huit sœurs de la maison. ...

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... Jean Hébert, Dame Vve Cartier, et ma petite Marie Pilote, ma servante qui a passé la journée chez sa mère: ce n’est qu’une légère indisposition, les oripeaux, très communs de ce temps-ci au village. Grand vent aujourd’hui, après la pluie. ...

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... J’ai rencontré au parloir ma petite Mamzelle Marie Anne Manseau, fille du Notaire, qui est là maîtresse d’une petite classe. ...

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... Nous avons fait communier à domicile cette semaine la mère Charles Labonté et le vieux Douillet, du rang Ste-Marie, le père Fontaine, du rang St-Antoine, le dit affligé Houle, Gélinas, le confiseur, la mère Cartier et le père Hébert. ...

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... R Vendredi, 2 mars 1883 Beaucoup de communions à la messe ce matin. On offre cette communion au Sacré Cœur de Jésus, en réparation des outrages adressés au Sacrement de son amour. ...

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... R Samedi, 3 mars 1883 Aujourd’hui, rien de bien remarquable, si ce n’est que j’ai entendu beaucoup de confessions: les oreilles m’en tintent encore à 9 heures du soir. ...