... Plus au nord, en octobre 1803, Denys, Thomas, Pierre-Paul et Noël Debos ou Dubosq font rédiger une pétition par le juge de paix William Ferguson pour l’acheminer à Carleton. ...
La Cadie, frontière du Canada
... Joyer à Plessis, 25 avril 1803, p. 24, AAQ, N-B, vol. VI, CEAAC, F979. 26. Land Sale by the Julian Family, 1813. Reproduit dans W.D. Hamilton et W.A. Spray, Source Materials, op. cit., p. 72-73. 27. Lease. ...
... Par exemple, en 1832, des bandes micmaques de Miramichi acceptent de céder des terres en autant que chaque famille reçoive un petit lot pour son usage et que les profits des parcelles vendues soient investis dans un fonds destiné à soigner les malades ...
... En 1811, l’endroit compte une trentaine de familles qui habitent dans des cabanes d’écorce durant leur séjour d’été annuel. Joseph-Octave Plessis parle de trois à quatre semaines, ce qui semble trop peu. ...
... La famille cultive aussi du maïs, des choux et d’autres légumes, en plus de posséder une vache et quelques porcs. Perly est d’avis que cette famille constitue alors un exemple positif pour les autres Micmacs de la province. ...
... En décembre 1808, on compte au moins six familles à Nepisiguit et cinq à Pokemouche 61. En 1810, le père E.L. Painchaud recense 300 Micmacs, 166 catholiques blancs et 140 protestants à Ristigouche et Cascapédia62. ...
... La texture démographique micmaque est également imprégnée de métissage, dont le cas de la famille Debos ou Duboscq, associée aux Micmacs de la péninsule acadienne à compter de la fin du xviiie siècle. ...
... Selon une pétition de 1810, il y aurait effectivement au moins trois familles Debos dans cette région. ...
... En 1796, 200 familles anglaises établies sur les deux rives de la Miramichi sont « d’un grand accueil pour la vertu des sauvagesses » et favorisent l’ivrognerie autant chez les femmes que chez les hommes70. ...
... Plusieurs familles et même des Acadiennes sont 77 fautives . Les châtiments que s’infligent eux-mêmes les Micmacs sont pourtant sévères. ...