Lacorne Saint-Luc

Lacorne Saint-Luc

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... L’empire de traite et l’alliance avec les nations de l’ouest sont perdus : la Nouvelle-France a les reins définitivement cassés42. * 41. Voir Peter MacLeod, Les Iroquois et la guerre de Sept Ans, op. cit., p. 164. ...

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... Le fusil «  de traite  », essentiellement identique au fusil de chasse, mais de grade généralement inférieur, était le fusil fourni aux Amérindiens lors de la traite des fourrures. À droite : détail du mécanisme de ce fusil de Tulle. ...

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... Robert Larin, Canadiens en Guyane, 1754-1805, Sillery, Septentrion et Paris, PUPS, 2006, p. 40. ...

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... Malgré cette accablante situation, l’espoir que la France expédie des secours ou signe un traité de paix persistait dans les cœurs des Canadiens, tout autant que le désir de reprendre Québec des mains des Britanniques avec l’aide des alliés amérindiens ...

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... « Dernier coup de dé », poème de Louis Fréchette, La légende d’un peuple, Paris, La Librairie illustrée, 1887, p. 451-455. ...

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... Seul un traité de paix franco-anglais pouvait encore sauver la Nouvelle-France. ...

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... Aussi, peut-être prenait-il des notes afin d’en faire rapport au ministre de la Marine à son arrivée à Paris. ...

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... Jadis, cette jonction était un lieu de portage et d’échange bien connu des Micmacs, car les Français y avaient installé un fort et un comptoir de traite de fourrures. 31. ...

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... Le silence que gardait monsieur de Saint-Luc de Lacorne, la douleur empreinte sur ses traits, confirmaient assez les prévisions de son ami. — Maudit soit le tyran, s’écria le capitaine d’Haberville, qui, dans sa haine pour les Français, a exposé de gaieté ...

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... Une grande pâleur se répandit sur tous les traits du général ; il fit apporter des rafraîchissements, traita monsieur de Lacorne avec les plus grands égards, et se fit raconter dans les plus minutieux détails le naufrage de l’Auguste. ...