... La collection Louis-François-Georges Baby aux Archives de l’Université de Montréal contient quelques-unes de ses lettres à sa sœur Charlotte-Louise, veuve Perreault. ...
Lacorne Saint-Luc
... conclusion En février 1888, plus de cent ans après sa mort, on rappelait son souvenir lors des célébrations du Jubilé pontifical de l’Université Laval en l’incluant parmi les grands de notre histoire, à côté des Frontenac, Talon, Vaudreuil, Montcalm ...
... Le magasin-entrepôt Frothingham & Workman (à droite) est situé au 157-163, Ouest de la rue Saint-Paul, dans le Vieux-Montréal, sur l’ancien emplacement de la maison de Lacorne Saint-Luc et de celle de son frère, François-Josué de Lacorne Dubreuil, face ...
... Marie-Angélique (Lilique) (1745-1815) m. le 31 mars 1766, à Pierre-Paul Margane de Lavaltrie (1743-1810) ; 5. Marie-Anne Roch (1747) ; 6. Louis (1748-1775) ; 7. François-Josué (1750-1800). 2. ...
... Louis-Luc ou Louis-François, dit le chevalier Le deuxième des fils Contrecœur-Lacorne est né au fort Frontenac, le 6 juin 1703. Il fut ondoyé le même jour par le père Michel Brûlé, récollet. Il fut baptisé à Montréal le 21 juin de l’année suivante. ...
... Pour en savoir plus sur la présence des Canadiens en Touraine après la Conquête, se référer à l’étude de Jean-François Mouhot, « Des Pieds-blancs venus du froid ? ...
... François-Josué, sieur Dubreuil François-Josué est né à Montréal le 7 octobre 1710. ...
... Outre le fait qu’ils se suivaient en âge et qu’ils étaient associés en affaires, plusieurs points laissent supposer que François-Josué était celui qui était le plus lié à Lacorne Saint-Luc. ...
... Notons que Mgr François de Laval devint le 33e abbé de Méobecq, en 1664, et qu’il fit décréter « l’union des bénifices dépendant de la dite abbaye au Séminaire » qu’il venait de créer dans la ville de Québec. ...
... Mais ce n’est qu’en 1758 qu’il décida d’émigrer définitivement dans le pays de ses ancêtres et, l’année suivante, sa mauvaise santé l’obligea à quitter son ordre religieux. « Il serait devenu un des gros bonnets de Saint-François, disait l’abbé de Lacorne ...