Légendes d'un peuple, tome III

Légendes d'un peuple, tome III

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... Avant-propos J’ai l’honneur de vous présenter mes nouveaux compagnons de route, les protagonistes du troisième tome de Légendes d’un peuple; ils se nomment Sacagawea, Paul Rose, Marie-Anne Gaboury, Louis Cyr, Gérald Godin, Louis Riel, Paul-Émile Borduas, Denis ...

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... Je pense à mes amis musiciens Guido Del Fabbro, Philippe Brault, Karl Surprenant, Steve de la Rosebil, MarcAndré Laroque, Denis Ferland et Éric Goulet, qui mettent leur immense talent à contribution. ...

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... grandes manifestations qui ponctuent les années 1968 et 1969 : Saint-Léonard en français, McGill français, pour le Mouvement de libération du taxi, contre la Redpath Sugar (où travaille son père), ainsi que l’hommage aux patriotes de 1837-1838, à Saint-Denis-sur-Richelieu ...

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... L’arrivée en août 1869 de l’équipe du colonel John Stoughton Dennis prend l’allure d’une occupation militaire. ...

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... Le jeune Denis Vanier, cheveux longs et pantalons de cuir, sans ses célèbres tatouages, sourire en coin, regarde passer René Lévesque, une autre légende. Crédit photo : René Lavoie LÉGEN DES D ’ U N PEU PLE — TOM E I I I 71 ...

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... Denis Vanier, la star de son rodéo D’un premier abord, la poésie québécoise peut sembler jalonnée de périodes et de styles aux contours bien nets. ...

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... par Claude Gauvreau, l’inventeur de la langue inventée, assurément le plus opaque et le plus agnostique de nos poètes, garantissant du coup à Denis Vanier une place dans notre république des lettres. ...

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... Il ne quittera désormais plus Montréal, essentiellement le quadrilatère des rues Ontario, Papineau et Saint-Denis, celles d’avant les McDo et les bars branchés, près du carré St-Louis, où il fréquente Péloquin, Miron, Patrice Desbiens et les autres habitués ...

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... En se demandant « Qui a peur de Denis Vanier ?  ...

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... néo-crémaziens ont singulièrement l’air d’enfants de chœur à côté du jeune Denis Vanier. » Sauf que si sa poésie n’est pas que pure mystique et tente de nous alerter, elle n’offre en revanche aucune issue à la vie, qui y est perçue comme l’antichambre ...