... London Paris, 31 octobre 1843 34, rue de Rivoli Mon cher M. ...
Lettres à divers correspondants, Tome I. Mars 1810 - septembre 1845
... La santé de Mme Papineau ne pouvait plus résister au climat de Paris et au mal du pays. ...
... Falconer, qui sont en promenade à Paris, que le sentiment de fierté nationale et le prix de l’union entre eux étaient mieux appréciés par les Irlandais qu’il ne l’avait jamais été à aucune époque antérieure, qu’ils en avaient obligation aux efforts méritoires ...
... toutes les circonstances que vous en aurez pu apprendre, vous y aurez ajouté vos judicieuses réflexions et, dans trois jours, j’aurai de vous la meilleure lettre que je puisse attendre sur ce sujet intéressant. 210 Au Dr O’Callaghan 34, rue de Rivoli, Paris ...
... Il peut y avoir une activité malfaisante en Canada, ce qui serait pire qu’un repos inglorieux dans Paris. Malgré tout le bien que les ex-ministres ont voulu faire, ils ne sont pas sans blâme à mon avis. ...
... Papineau 211 [À une inconnue] Paris, 27 mai 1844 Madame, Je suis vivement attristé de n’avoir pas en ce moment le pouvoir de faire quelque chose qui vous serait agréable et aussi à M. votre frère en aidant à hâter la lecture et sans doute l’admission ...
... Lettres à divers correspondants : Page 541 sur 592 L’EXILÉ 212 À l’honorable Joseph Masson Paris, 31 mai 1844 Mon cher Monsieur, Je vous envoie deux caisses de livres, marquées LJP nos 1 et 2, contenant les livres mentionnés avec leurs prix dans les ...
... Papineau parle sans doute ici des titres suivants : Joseph-François Michaud et Jean-Joseph-François Poujoulat, Nouvelle collection des mémoires pour servir à l’histoire de France, séries de volumes publiés à Paris en 1836-1839. ...
... C’est juste en arrière de son ancienne adresse, tout près de l’hôtel Meurice d’aujourd’hui. 213 Au Dr O’Callaghan Paris, 15 juin 1844 Mon cher docteur, Vous avez vu, par les débats parlementaires, combien la politique oppressive de l’Angleterre contre ...
... Papineau 214 À Mme Dowling Paris, ce 16 juillet 1844 Puissent, au jour du vingt-cinquième anniversaire de la naissance d’une aussi parfaite amie que celle pour qui je trace ces lignes, tous souvenirs douloureux s’effacer de son esprit. ...