... Si tu les reçois ainsi que cette lettre, tu en accuseras la réception. Tu pourras passer ces papiers à M. Bélanger et s’il veut les laisser voir à M. Debartzch, je le mets libre de les lui prêter. 101. ...
Lettres à Judith
... ( Burlington, 4 novembre 1839 Chère amie, Dans ma dernière, remise à un nommé Langlois de Saint-Ours, qui s’est de plus chargé de te remettre une livre de thé, je n’ai pu répondre d’une manière satisfaisante à cette partie de ta lettre où tu me demandes ...
... Embrasse nos enfants et la famille. Donnemoi des nouvelles d’Alfred. Dans ta première lettre, dis-moi si tu as reçu cette lettre et les deux piastres qu’elle renferme. ( Montréal, 17 novembre 1839 Eh bien ! ...
... Expédiée de Burlington le 26 novembre 1839, cette lettre contient trois parties : une adressée à sa soeur Julie Marchesseault, une autre à son père. Nous ne donnons que la partie adressée à Judith Morin. 104 ...
... Dans ta prochaine lettre, dis-moi, chère Judith, si tu as reçu dernièrement, par la poste, une lettre et un bill de deux piastres. ( 108. Louis Mauger, marchand de Saint-Ours, emprisonné du 2 décembre 1837 au 30 mars 1838. 109. ...
... Mais espérons qu’avant cette époque, la tyrannie et l’injustice auront fait trêve et m’auront laissé libre d’aller vivre au sein de ma famille. Adieu, ma chère, embrasse mes enfants et toute la famille pour ton affectionné époux. S. M. M. ...
... Édouard se porte bien, il embrasse son père, ses sœurs, sa memère et, avec eux, le reste de la famille. Julie jouit aussi d’une bonne santé. Les dernières nouvelles de chez Lupien sont bonnes. ...
... S Marchesseault Respect, amitiés à la famille. Tu recevras par le porteur différents effets et hardes dont je n’ai plus de besoin ici. Tu en tireras le meilleur parti possible. Renvoie-moi mon sac, il m’est utile ici. ...
... Le marchand de Burlington qui m’avait offert de prendre chez lui tout ce dont j’avais besoin pour prendre un petit commerce, ce printemps, si les affaires reprenaient vigueur, a déclaré faillite, il y a aujourd’hui quinze jours, et j’apprends par une lettre ...
... En réponse à cette partie de ta lettre où tu me demandes si j’ai eu connaissance des marchés entre M. Debartzch et M. Côté, je te répondrai que je n’en connais rien du tout. Toutes les transactions de M. ...