Lettres à Judith

Lettres à Judith

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... Elle perd son père à l’âge d’un an et est élevée à Saint-Charles par François Côté et Charlotte Leduc, ses bienfaiteurs, un couple sans enfants. ...

Page 11

... Quelques jours plus tard, il y est rejoint par trois de ses oncles : Thomas Marchesseault, forgeron à SaintHyacinthe, époux en secondes noces de Marie Lavallée ; François Marchesseault, forgeron à Verchères, époux de Marie-Anne Loiselle ; Augustin Marchesseault ...

Page 17

... François Côté et Charlotte Leduc, de Saint-Charles, accueillirent dans leur maison Judith Morin et son enfant. 3. Zéphirin Cordeau, cultivateur de Saint-Charles, époux d’Agnès Tétreau. 4. ...

Page 21

... La première lettre de Marchesseault à sa femme, écrite de la prison de Montréal, est adressée à François Côté, cultivateur de Saint-Charles, chez qui s’est réfugiée Judith Morin. Le manuscrit porte le sceau de la poste du 13 janvier 1838. 7. ...

Page 22

... Peter Spink, juge de paix ; Édouard TétreauDucharme ; Isaiah Bunker, aubergiste ; François Mount, marchand, et Antoine Laurendeau, tabaconiste, tous de Saint-Charles. 11. « Cette chère petite fille qui n’a pas vu son père » est en réalité un garçon, né ...

Page 23

... François-Roch de St-Ours, shérif de la prison. 13. Ce début de phrase est raturé. 14. ...

Page 26

... L’élargissement de François-Xavier Hubert, le 27 février 1838, nous permet de dater cette lettre du même jour. ...

Page 30

... Charlotte Leduc, épouse de François Côté. Les bienfaiteurs de Judith Morin-Marchesseault, sans enfants, avaient accueilli Judith dans leur maison bien avant qu’elle ne se marie avec Siméon Marchesseault. En 1830, François 30 ...

Page 80

... Jean-Baptiste-Eusèbe Durocher, marchand de SaintCharles, et François-Modeste Lemire, son commis. Ce dernier fut emprisonné du 30 novembre 1837 au 7 juillet 1838. 85. ...