... lettres à sa famille • 1803-1871 205 idées comme il m’en est venu bien souvent ; mais les obstacles à leur donner suite et effet y sont infinis. ...
Lettres à sa famille. 1803-1871
... 206 lettres à sa famille • 1803-1871 À Madame Dessaulles À Saint-Hyacinthe Mardi 29 juillet 1834 Ma chère Rosalie, Je sais bien quelle grande part tu prends à notre deuil. ...
... lettres à sa famille • 1803-1871 207 de prunier du pays, une couple de poignées des tiges et feuilles hachées de ronces, ou de framboisier indifféremment, bouillies dans un gallon d’eau jusqu’à réduction de moitié, pris à la quantité d’un demi-gobelet ...
... 208 lettres à sa famille • 1803-1871 autre année. Papa est bien. Je te souhaite, et à Dessaulles et aux enfants, toute la santé et le bonheur possibles. Adieu, ma chère Rosalie. Julie t’embrasse tendrement. ...
... lettres à sa famille • 1803-1871 209 plus que ne coûterait le peinturage, et c’est beaucoup plus joli, et même plus durable, avec la précaution de ne le pas laisser déchirer. Adieu, ma chère sœur. Nous sommes bien portants. ...
... 210 lettres à sa famille • 1803-1871 Mes amitiés chez Augustin et au cher Émery qui, je n’en doute, continue à être appliqué et avec succès, ainsi que mon cher Louis. ...
... lettres à sa famille • 1803-1871 211 sans l’avertir, en priant peut-être l’excellente madame Peltier178, vu l’extrême jeunesse de Roy, de le voir monter chez elle quelquefois, au temps de la récréation, pour le peigner. ...
... 212 lettres à sa famille • 1803-1871 À Rosalie Papineau-Dessaulles [Montréal, avril 1835]179 Ma chère Rosalie, Je suis trop excédé d’occupations par le temps qui court pour que je puisse trouver le temps d’étudier à fond la solution des difficultés ...
... lettres à sa famille • 1803-1871 213 Louis te remettra le billet que tu avais consenti à M. Cartier et qu’il a retiré de la banque. Bruneau est malade. Il a négligé tes affaires et les miennes. ...
... 214 lettres à sa famille • 1803-1871 cette dépendanceà laquelle sont asservis la majorité des membres des Conseils, par la réunion sur leurs têtes d’autres emplois lucratifs accordés seulement durant plaisir, de l’injustice offensante faite aux natifs ...