Lettres à sa famille. 1803-1871

Lettres à sa famille. 1803-1871

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... lettres à sa famille1803-1871 455 rable à celui des villes. Que de courses à faire, du premier printemps au dernier automne, pour voler de fleurs en fleurs, de mousses en mousses, avec vous, avec eux, plus facilement ici qu’ailleurs ! ...

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... 456 lettres à sa famille1803-1871 de payer aussi le compte ci-inclus, reçu avant-hier, au Herald. Tous, nous vous embrassons tous bien tendrement. Votre père très affectionné. L.J. ...

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... lettres à sa famille1803-1871 457 mais il faudrait que ce fût empaqueté avec tout le soin dont tu es capable, et, par Auguste, placé en situation où ce ne pourra pas mouiller. ...

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... 458 lettres à sa famille1803-1871 haut de son moulin et placé dans le coursier une pompe pour le remplir à volonté ? Adieu, chère sœur. Nous vous souhaitons santé et contentement, puis aurevoir. Ton frère affectionné. L.J. ...

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... lettres à sa famille1803-1871 459 Après plus mûre réflexion, l’on vous envoie les aubes par Major, postillon, avec les plus pressantes recommandations d’en prendre grand soin. *** À Augustin-Cyrille Papineau 16 avril 1854 Mon cher Auguste, [ ...

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... 460 lettres à sa famille1803-1871 [À J.B.N. ...

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... lettres à sa famille1803-1871 461 longues années ; qu’en tout temps où vous pourrez venir me voir, vous me ferez et à votre tante grand plaisir. ...

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... 462 lettres à sa famille1803-1871 [À Denis-Benjamin Viger] Petite-Nation, 27 juillet 1854 Mon cher Monsieur Viger, Combien il est douloureux que les nécessités de la vie dispersent et séparent les familles et ceux qui aimeraient le mieux vivre ...

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... lettres à sa famille1803-1871 463 et tristes. Puis après, ma très chère mère, qui m’aima plus et mieux que votre très chère mère. Toutes ces grandes douleurs que vous avez éprouvées, moi aussi je les ressentis bien vivement. ...

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... 464 lettres à sa famille1803-1871 Mon cher Monsieur Viger, avant la fin de la navigation, nous espérons que la vapeur nous rendra facile le trajet d’ici à Montréal par l’usage de locomotives, au lieu de mauvais stages, dans lesquels nous sommes ...