... lettres à sa famille • 1803-1871 665 Je les ai signées et appuyées verbalement, en faisant remarquer que l’empressement de Fortin et sa cabale à faire réparer cette maçonne, malgré l’ordre de M. ...
Lettres à sa famille. 1803-1871
... 666 lettres à sa famille • 1803-1871 nudité. Si la cabale n’avait été qu’injuste, coupable, odieuse, acharnée, etc., si elle avait été dénoncée par un laïque pécheur invétéré, comme M. Taillefer ou moi, je l’aurais toute laissé passer. ...
... lettres à sa famille • 1803-1871 667 800 qu’ils pourront vous faire coûter quand ils voudront. Vous y trouvez du profit, c’est à l’opposition, plus discrète que vous, que vous le devez. Vous voulez la paix. Payez donc. ...
... 668 lettres à sa famille • 1803-1871 Nous étions si embourbés que je m’étais dit qu’Auguste renoncerait à monter plutôt que de le faire en voiture roulante. ...
... lettres à sa famille • 1803-1871 669 payée. Alors, s’il l’avait été par Beaudry, dont il prenait le billet à défaut d’argent et devait me rembourser à l’échéance du billet. Mais comme Beaudry est encore désargenté, il faudra attendre. ...
... 670 lettres à sa famille • 1803-1871 14 et 15, Sainte-Julie, en vente le 21 février 1867. Jugement : 140,96 ; frais de cour : 34,07 ; rente de 1866, intérêts et frais : 4,57. Vous ne m’avez pas dit qui avait acheté les clôtures de la Jaudoin. ...
... lettres à sa famille • 1803-1871 671 Puis va-t’en voir s’ils viennent, Jean ! ...
... 672 lettres à sa famille • 1803-1871 et par celui-ci à Louis Pilon, ce campeau a toujours été erronément désigné comme commençant au sud, à la profondeur des terres de la Baie Noire. Je pense que lorsqu’ils se sont séparés, M. ...
... lettres à sa famille • 1803-1871 673 Tous les Papineau sont très bien, néanmoins dans toutes les réunions les dames viennent m’assiéger pour me dire : Vos neveux sont vieux, vous restez le game et le best du Ball du consul ; demi-douzaine d’Anglais ...
... 674 lettres à sa famille • 1803-1871 temps pour décider comment préparer le noviciat ; mais, en cas que vous aimiez mieux rester dans le monde demoiselles admirées et, plus tard, femmes parfaites et parfaitement chéries, dites à Fanny qu’elle m’écrive ...